#ÉcrivainsFrançais
Couleur du temps, c’est la couleur de cet album et si l’oiseau bleu n’apparaît pas flgurativement, il est là tout de même, Peter Cornélius a su le voir et nous le montre ingénument. Par...
Je suis allée chercher mon tricot… m’a suivie le gris il ne se méfie pas comme le grand… Elle était toute petite aussi mais quelque chose en elle parlait…
Entre les barreaux des locaux disc… une orange passe comme un éclair et tombe dans la tinette comme une pierre
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
L’oiseau qui chante dans ma tête Et me répète que je t’aime Et me répète que tu m’aimes L’oiseau au fastidieux refrain Je le tuerai demain matin.
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
Le tendre et dangereux visage de l… C’était peut-être un archer avec s… Je ne sais plus Je ne sais rien Tout ce que je sais c’est qu’il m’…
Un marin a quitté la mer son batea… ... et voilà Une veuve a quitté le deuil une folle a quitté l’asile et ton sourire a quitté mes lèvres
Cette nuit-là je regardais la lune Oui j’étais à ma fenêtre et je la regardais et puis j’ai quitté ma fenêtre je me suis déshabillée
tombe dans l’eau de vaisselle du baquet d’un couvent Mais en réalité ce n’est pas à cause d’elle que le ramoneur sanglote mais à cause de sa marmotte elle aussi enlevée par le et dans u...
C’est la convalescence des vacance… Entre l’arbre du bien et du mal et l’écorce terrestre le doigt de Dieu est resté coincé
Un jour, dans les petites montagnes des Alpes-Maritimes, du côté d’Entrevaux je crois, Robert Dois-neau « en reportage » accompagnait un berger, ses moutons et ses chiens, lorsqu’un ca...
En Provence, aujourd’hui encore, un déjeuner de soleil c’est un repas d’ogre. La lumière dévore le paysage et avec la plus amène hostilité, saute au visage du peintre de Riviera, du déc...
La batteuse est arrivée la batteus… Ils ont battu le tambour ils ont battu les tapis ils ont tordu le linge ils l’ont pendu
Breton sont restés et le temps, ce qu’on appelle et interpelle le temps, n’a rien à voir ni à entendre là-dehors ou là-dedans. Jean est surréaliste, peu importe ou exporte depuis quand....