Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Sur un air grec. Le matin n’est plus ! le soir pas… Pourtant de nos yeux l’éclair a pâ… Mais le soir vermeil ressemble à l… Et la nuit plus tard amène l’oubli…
Au fond des ténèbres, Dans ces lieux funèbres, Combattons le sort : Et pour la vengeance, Tous d’intelligence,
Quand le Soleil du soir parcourt… Et jette l’incendie aux vitres du… Je suis la Grande Allée et ses de… Tout plongé dans mes rêveries ! Et de là, mes amis, c’est un coup…
À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,
Non loin des rivages de France, Il est une île au sein des mers : C’est là que veille l’espérance Et le fléau de l’univers ; Et c’est là, qu’abusant du droit d…
Voici trois ans qu’est morte ma gr… La bonne femme,—et, quand on l’ent… Parents, amis, tout le monde pleur… D’une douleur bien vraie et bien a… Moi seul j’errais dans la maison,…
Je suis le ténébreux,—le veuf,—l’i… Le prince d’Aquitaine à la tour a… Ma seule étoile est morte,—et mon… Porte le Soleil noir de la Mélanc… Dans la nuit du tombeau, toi qui m…
Au sein des vastes mers, un aride… Contre qui vient mugir la colère d… Se hérisse de rocs, effroi des mat… Du Corse belliqueux c’est le rédu… Là naguère le Sort, allumant un f…
C’est l’empereur Napoléon, Un nouveau César, nous dit-on, Qui rassembla ses capitaines : —Allez là-bas Jusqu’à ces montagnes hautaines ;
Notre-Dame est bien vieille : on… Enterrer cependant Paris qu’elle… Mais, dans quelque mille ans, le… Comme un loup fait un boeuf, cette… Tordra ses nerfs de fer, et puis d…
La Treizième revient... C’est enc… Et c’est toujours la seule,—ou c’e… Car es-tu reine, ô toi ! la premiè… Es-tu roi, toi le seul ou le derni… Aimez qui vous aima du berceau dan…
(Imitée d’Uhland) Oh ! quel doux chant m’éveille ? —Près de ton lit je veille, Ma fille ! et n’entends rien... Rendors-toi, c’est chimère !
Il est un air pour qui je donnerai… Tout Rossini, tout Mozart et tout… Un air très-vieux, languissant et… Qui pour moi seul a des charmes se… Or, chaque fois que je viens à l’e…
De votre amitié, maître, emportant… Je tiens donc sous mon bras le Rh… Et je me sens grandir par la compa… Mais le Fleuve sait-il lui pauvre… Ce qui lui donne un nom, une sourc…
Oh ! De quelle splendeur brillaie… Quand un autre soleil échauffait l… Quand nos jeunes lauriers, vers le… Agitaient noblement leur tige refl… Ces grands jours, déjà loin, ne vo…