Adossé au comptoir, tel un chêne à l’automne,
Ressassant les espoirs, dynamique monotone,
Évaluant chaque choix, aux pratiques tatillonnes,
Je prends celui du bois, transformé en carbone.
Sur la route de la joie, cumuler en bonbonne,
Chacun donne de soi, periph de la déconne,
Secouons nous la noix, l’équilibre des frivoles
Chauffons nous tous le poix, pour la durer du vol,
Que tous les sois soient rois, pour le kiff de l’aurore,
J’ai le droit de l’emploi, de ne voir que ton or,
De ressentir ta foie, en l’enjeu de notre sport,
De partager tes lois, en tout bien tout effort.