#ÉcrivainsFrançais
De Messène au cercueil fille augu… Muse des grands revers et des nobl… Désertant ton berceau, tu pleuras… Comme la Grèce alors la France ét… De Messène au cercueil fille augu…
Par les flots balancée, une barque… Hier m’avait porté sur ce vaste va… Qui fatiguait le golfe et sa vaine… D’un inébranlable fardeau. Ses longs mâts dans les deux monta…
Vénus, ô volupté des mortels et de… Ame de tout ce qui respire, Tu gouvernes la terre, et les mers… Tout l’univers reconnaît ton empir… Des êtres différens les germes pré…
Le flot qui vient blanchir les restes du port Jule Couvre de ses flancs noirs les pointes de Misène ; « Ils parlent à mes yeux, ils enchaînent mes pas. « Ces lentisques flétris dont la ...
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
« Le soleil a paru : sa clarté men… Du fer des boucliers jaillit en lo… Les guerriers sont debout, immobil… Ils pressent de leurs dents leur l… Tous, pleins d’un vague effroi qu’…
Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un bruit lointain… C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine vient éclairer
rightRome, villa Paolina. Non, tu ne connais pas encor Ce sentiment d’ivresse et de mélan… Qu’inspire d’un beau jour la splen… Toi qui n’as pas vu les flots d’or…
Adieu Madeleine Chérie, Qui te réfléchis dans les eaux, Comme une fleur de la prairie Se mire au cristal du ruisseau. Ta colline, où j’ai vu paraître
Toi, qui n’as rien connu, dans ton sanglant passage, Dieu mortel, sous tes pieds les monts courbant leurs têtes Et, debout sur l’airain de leurs foudres guerrières, « Conservez, disaien...
A vous, puissans du monde, à vous,… Qui tenez dans vos mains et la pai… À vous de décider si lassés de sou… Les grecs ont pris le fer pour vai… Si du Tage au Volga, de la Tamis…
« Tu nous rends nos derniers signa… Le long du bord le câble crie ; L’ancre s’élève et sort des eaux ; La voile s’ouvre ; adieu, patrie ! « Des flots l’un par l’autre heurt…
Silence au camp ! La vierge est p… Par un injuste arrêt Bedfort croi… Jeune encore, elle touche à son he… Silence au camp ! La vierge va pé… Des pontifes divins, vendus à la p…
O sommets de Taygète, ô rives du… De la sombre Tempé vallons silenc… Ô campagnes d’Athène, ô Grèce inf… Où sont pour t’affranchir tes guer… Doux pays, que de fois ma muse en…
Sachez envelopper, selon la conven… D’un petit conte aimable, une grav… Il faut d’un peu de miel, avec dex… Couvrir les bords du vase où l’on… Le Tasse nous l’a dit, et ces fou…