Le livre de l’amie (1866)
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Les Grecs, pour honorer une de le… Inscrivaient Callipyge au socle d… Ils aimaient, par amour de la gran… La vérité des corps harmonieux et… Je ne crois pas aux sots faussemen…
Non, tu ne m’as rien emporté ! C’est encor moi qui te possède ; J’ai gardé toute ta beauté ; A nul autre je ne te cède ! Écoute ! L’homme à qui tes bras
Derrière les brouillards blancs co… La lune, œil endormi qui se souvie… Me sourit, et sa flamme embellit l… Du bois où sourdement court la sèv… Ô nuit ! forêt sans bords, lune, s…
L’auberge était sinistre, isolée ;… On eût dit une tombe au fond d’un… Pareille au croque-mort qui recouv… La nuit l’enveloppait de son grand… Voyageur attardé, je couchais dans…
L’homme mûrit son cœur. L’arbre m… Voici l’heure des fruits, et voici… Où la terre a poussé des germes à… Debout, penseur ! voici l’avenir q… Va, guerrier ; ceins tes reins pou…
Aux deux rives de l’eau, paysage t… Sur la berge encaissée où leur amp… Des arbres, dont le tronc au sol r… Agitent leurs rameaux sans feuille… Des percherons trapus tirent du co…
L’Amour, l’autre soir, fantasque… Passant près de moi, prit une bala… Dans l’un des plateaux il jeta mon… Il jeta mon cœur avec violence. Dans l’autre, il plaça deux yeux p…
Quand elle part, sa grâce invente… Charmants, un gant laissé, la fenê… « Elle avait oublié de dire quelqu… C’est toujours puéril et c’est exq… La dernière caresse a fait ses bra…
Quand je monte vers la barrière, En laissant la ville en arrière, Quand la rue est près de finir, Un mirage, un décor, un rêve Au bout de mon chemin se lève :
Derrière le treillis du passage à… Les filles de Strasbourg composen… Pour Marchai, gai bouquet de figu… Elles portent le court jupon de co… Et la coiffe ancienne aux larges n…
En plein air, sur l’estrade en pla… Aux sons du cuivre aigu faussant l… Pendant que les buveurs trinquent… L’hercule fait saillir les muscles… Ses deux bras sont croisés dans le…
Distrait et grave comme un fou, Ayant mes rêves pour cortèges, Je vais un peu je ne sais où Par les pays où sont les neiges. Je vais, et je ne saurais pas
Dans la forêt mouillée et verte, Comme deux rudes compagnons, Nous allions à la découverte Cueillir au loin des champignons. Nous n’y connaissions pas grand ch…
Pure et blanche aux reflets du gra… Comme dans les tableaux la Vierge… Elle hâte du doigt la lente quenou… L’œil pensif et la tête avec grâce… Près d’elle son chien dort, gronde…
La lisière du bois suit le petit c… D’ocre jaune, où tout pli rit d’un… La pente, pleine d’air, est comme… D’un lever d’ailes d’or, de soufre… Vrilles des liserons glissant leur…