#ÉcrivainsFrançais
Un dernier cerf se perdant Parmi les arbres, Le sable retentira Du pas d’obscurs arrivants. Dans la maison traversée
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
Il y a sans doute toujours au bout… Où je marchais enfant une mare d’h… Un rectangle de lourde mort sous l… Depuis la poésie A séparé ses eaux des autres eaux.
Les lampes de la nuit passée, dans… Brûlent-elles enror, et dans quel… C’est le soir, où l’arbre s’aggrav… L’étoile a précédé le frêle feu mo… Andiam. compagne belle, astres, de…
Ayant livré sa tête aux basses fla… De la mer, ayant perdu ses mains Dans son anxieuse profondeur, ayan… Aux matières de l’eau sa chevelure… Étant morte, puisque mourir est ce…
Nous ne nous voyons plus dans la m… Nous n’avons plus les mêmes yeux,… L’arbre est plus proche et la voix… Nos pas sont plus profonds, parmi… Dieu qui n’es pas, pose ta main su…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Quelle parole a surgi près de moi, Quel cri se fait sur une bouche ab… A peine si j’entends crier contre… A peine si je sens ce souffle qui… Pourtant ce cri sur moi vient de m…
Le bruit des voix s’est tu, qui te… Tu es seul dans l’enclos des barqu… Marches-tu sur ce sol qui bouge, m… Un autre chant que cette eau grise… Un autre espoir que ce départ que…
L’oiseau des ruines se dégage de l… Il nidifie dans la pierre grise au… Il a Franchi toute douleur, toute mémoi… Il ne sait plus ce qu’est demain d…
L’étoile sur le seuil. Le vent, tenu Dans des mains immobiles. La parole et le vent furent de lon… Et puis ce fut d’un coup ce silenc…
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
L’orage qui s’attarde, le lit défa… La fenêtre qui bai dans la chaleur Et le sang dans sa fièvre : je rep… La main proche à son rêve, la chev… A son anneau de barque retenue