Ivre d’un parfum d’un hibiscus en… Je dessinais les contours d’un rêv… L’imaginaire secret d’une de mes n… Un éclair gravé sur une feuille de… Sur la table des songes, mes pensé…
Ont-ils le droit, ceux-là qui s’év… Pris de peur et front bas, comme d… D’éteindre leur raison comme on ét… Et de faire la paix dans leur âme… A regarder sans fin l’obscurité pr…
Non, je ne l’aime point cette carc… Qu’on ne m’en parle plus, quoi qu’… J’aime autant embrasser l’image d’… Ou me laisser tomber tout nu dans… Dès la première nuit de nos embras…
D’illusions fantastiques Quel doux esprit t’a bercé ? Qui t’a dit ces airs antiques, Ces contes du temps passé ? Que j’aime quand tu nous chantes
Sur la route du fleuve roi La rive veut rire et s’effraie ; Le ruisseau chuchote à part soi Et les peupliers font la haie. Bien que pressé d’aller au but,
Mec La face des têtes Idoles Dans un coin où passe une voiture Tout dort
Dans notre vie âcre et fiévreuse Ta splendeur étrange apparaît, Phare altier sur la côte affreuse… Et te voir est joie et regret. Car notre âme que l’ennui creuse
Je louerai seulement un coeur plei… Ces nobles sentiments, ces grâces,… Vous n’auriez en cela ni maître ni… Sans celle dont sur vous l’éloge r… Gardez d’environner ces roses
Aimez-vous le passé Et rêver d’histoires Évocatoires Aux contours effacés ? Les vieilles chambres
Comme je fus toujours un loyal ser… À mon maître j’ai dit : « L’homme… Qui laboure pour toi le flanc de l… Ne gagne pas l’argent promis à son… L’homme, affaibli par le travail e…
Les dimanches d’été, le soir, vers… Quand le peuple empressé déserte s… Et va s’ébattre aux champs, Ma persienne fermée, assis à ma fe… Je regarde d’en haut passer et dis…
La mélodie nous lâche, dans le dés… A nous de faire face, au plus gran… Celui qui nous oblige, à devenir c… Qui saute chaque périple, à l’inst… Je n’ai pas aperçu, celui qui s’év…
Je m’attendais à tout ce qui peut… La tête en bas Les pieds touchant la tête Et tout ce qui dans l’angle remuai… Contre le mur
Entends-tu ce long bruit doux comm… Ce cri qu’à l’univers arrache le g… Trop longtemps combattu, Cri tout d’un coup sorti de la fou… Et qui porte à la gloire un nom de…
Sonner XXIV. Pauvre peintre aveuglé, qu’est-ce… A ce petit portrait où tu perds to… Essayant d’égaler de ton blanc arg… Ou du vermeil, le lys et l’oeillet…
Sonnet. Puisqu’il n’est point de mots qui… Ce soir, mon âme triste en vouloir… Qu’un archet pur s’élève et chante… Pour mon rêve jaloux de ne se défi…
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
Au vieux roi de Thulé sa maîtress… Avait fait en mourant don d’une co… Unique souvenir qu’elle lui laissa… Cher et dernier trésor. Dans ce vase, présent d’une main a…
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
J’irai bien sur la lune, juste pou… Je gagnerai des tunes, pour les je… Mille séances de muscu, en régime… Servi sur mes légumes, quelques co… Met moi tout dans le cul, pas sa p…
Bonjour mes chers lecteurs . C est les Essais et la plume . Sous le ciel gris de la poésie . J ai préparé café chaud . Pour ma muse Lucie .. qui dort .
Fable XIV, Livre II. Dame Arachné dans un palais Se glissa sans être aperçue ; Sa toile n’était pas tissue Qu’en l’air étaient tous les balai…
Mon Loys, j’ai sous vos prunelles… Oublié, dans mon cœur troublé, Mon époux qui s’en est allé Pour combattre les infidèles. Quand nous le croirons loin encor,
C est la colonne de Sunday . C’est un article sur le journal… Tu vois l ami .. nous vivons dans… En souffrance et de violence . Les conflits permanents et les fou…
Souvent le cœur qu’on croyait mort N’est qu’un animal endormi ; Un air qui souffle un peu plus for… Va le réveiller à demi ; Un rameau tombant de sa branche
Dans ce cabriolet de place j’exami… L’homme qui me conduit, qui n’est… Hideux, à barbe épaisse, à longs c… Vice et vin et sommeil chargent se… Comment l’homme peut-il ainsi tomb…
Je veux vous peindre, ô belle ench… Dans un fauteuil ouvrant ses bras… Comme Diane, en jeune chasseresse… L’arc à la main et les cheveux pou… Sur les rougeurs d’un ciel aux feu…
C est le champoésies .. c est les… Du moulin de l Escarelle .. le p… C est les cahiers bleus .. sur le… C est les dizaines de nuances ..… Des fragments colorés pour trouver…
Comme un vol criard d’oiseaux en é… Tous mes souvenirs s’abattent sur… S’abattent parmi le feuillage jaun… De mon cœur mirant son tronc plié… Au tain violet de l’eau des Regre…
Dans l’essaim nébuleux des constel… Ô toi qui naquis la première, Ô nourrice des fleurs et des fruit… Blanche mère des visions, Tu nous viens du soleil à travers…