Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs un jardin des fleurs un sculpteur qui sculpte des Napoléon la fleur qu’on appelle aussi deux amoureux sur un grand lit un receveur...
Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquille… Vers les hommes des grandes villes… Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
Sculpteur, cherche avec soin, en a… Un marbre sans défaut pour en fair… Cherche longtemps sa forme et n’y… D’amours mystérieux ni de divins c… Pas d’Héraklès vainqueur du monst…
Sonnet IX. France, mère des arts, des armes e… Tu m’as nourri longtemps du lait d… Ores, comme un agneau qui sa nourr… Je remplis de ton nom les antres e…
J’ai dans le cœur un incendie qui… d’un amour si grand pour toi, qu’aussi loin que les vagues m’emp… aussi loin que mes souvenirs seron… soumis à cet amour impossible,
Elle se penche sur moi Le cœur ignorant Pour voir si je l’aime Elle a confiance elle oublie Sous les nuages de ses paupières
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
IDYLLE. Maintenant sous le ciel tout re… Lamartine Sur l’herbe du verger, au pied de… Le jeune homme est assis près de l…
Un Ange furieux fond du ciel comm… Du mécréant saisit à plein poing l… Et dit, le secouant : « Tu connaî… (Car je suis ton bon Ange, entend… Sache qu’il faut aimer, sans faire…
Sur la terre des hommes poussent d… Il y suffit de l’eau par la nature… Observant les étoiles qui tournaie… Un philosophe assis fit cette déco… La terre est un jardin mais l’homm…
Par je ne sais quelle aventure, Un avare, un beau jour, voulant se… Au marché courut acheter Des pommes pour sa nourriture. Dans son armoire il les porta,
La plate volupté et le pauvre myst… Que de n’être pas vu. Je vous connais, couleur des arbre… Entre nous est la transparence de… Entre les regards éclatants.
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
Soit lointaine, soit voisine, Espagnole ou sarrazine, Il n’est pas une cité Qui dispute sans folie A Grenade la jolie
Chaque enfant qu’on enseigne est u… Quatre-vingt-dix voleurs sur cent… Ne sont jamais allés à l’école une… Et ne savent pas lire, et signent… C’est dans cette ombre-là qu’ils o…
Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...
Mes fils, soyez contents ; l’honne… Et vous, mes deux amis, la gloire,… Couronne votre nom par l’affront d… Offrez aux juges vils, groupe abje… Toi, ta douceur intrépide,
La minute m’a dit : « Presse-moi… Tu ne sais aujourd’hui si tu seras… Ainsi prends tout le suc qui m’enf… Ne tourne pas la tête et ne passe… Vis-moi !...dans un instant, je se…
Aujourd’hui. En larges nappes d’or la lumière s… Le soir viendra bientôt, six heure… L’ouvrier se revêt de sa chemise b… Et lustre de la main son vieux cha…
souliers et ils passent devant elle et la saluent très bas de temps en temps elle leur jette un vieux cure-dents ils le sucent avec ravissement en continuant leur promenade leurs soulie...
Sed sa… LUCAIN. Où donc est le bonheur ? disais-je… Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l… Naître, et ne pas savoir que l’enf…
Quels secrets dans mon coeur brûle… Âme par le doux masque aspirant un… De quels vains aliments sa naïve c… Fait ce rayonnement d’une femme en… Souffles, songes, silence, invinci…
J’implore ta pitié, Toi, l’unique… Du fond du gouffre obscur où mon c… C’est un univers morne à l’horizon… Où nagent dans la nuit l’horreur e… Un soleil sans chaleur plane au-de…
Je m’endors avec des oiseaux plein… Et je rêve d’un jardin Mais si tes yeux sont loin des mie… Je m’endors avec des larmes plein… Et mon rêve s’appelle : chagrin.
Il y avait de faibles femmes et puis des femmes faciles et des femmes fatales qui pleuraient hurlaient sanglotai… devant des hommes de paille
Un solide gaillard ! dix-huit ans… Mains à vous arracher la tête de l… Sur un front bas et dur, cheveux r… Puis, à la danse, il a, ma foi, cr… Les enfants poussent drus aux fill…