1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
Quand la mer me prend le cœur Un jour d’automne à Honfleur Je suis celui qui disparaît Comme un crabe qui s’cache sous le… La mer qui perturbe nos habitudes
Fable XIV, Livre III. Le zèbre débarque en Europe ; Les ânes d’admirer, et les savants… « Le beau cheval que celui-ci ! » Disent nos connaisseurs qu’éblouit…
Sonnet CXXVII. Ici de mille fards la trahison se… Ici mille forfaits pullulent à foi… Ici ne se punit l’homicide ou pois… Et la richesse ici par usure est a…
(Au sommet du Glenroe *). Ayant monté longtemps d’un pas lou… Les rampes, au sommet désiré du vo… Près du chemin gravi, bordé de fin… Oh ! qui n’aime à tomber d’un cœur…
Je te rencontre un soir d’automne, Un soir frais, rose et monotone. Dans le parc oublié, personne. Toutes les chansons se sont tues : J’ai vu grelotter les statues,
Il était une fois, de couleur rose… Ouaté, doux, tiède, accueillant, Volatile, insaisissable, comblant, Éphémère, impossible, Irremplaçable
Faites-vous la sourde, Macée ? Voyez Combaut qui vient à vous, Pour ravoir ce que votre œil doux Lui a tiré de sa pensée. Vous l’avez, et lui ne l’a plus,
Dans la ville il n’y a plus person… On monte à travers les bois Quelques-uns tombent Et ceux qui arriveront trop tard C’est toi
“ L’amour un jeu, J’ai testé, c’était une drôle de d… Et moi je, Retire de toutes ces choses, Que je veux,
On se réveille dans des états très différents, en fonction du drap dans lequel on s’est emballé, si la nuit a été de courte durée, si la nuit a été pleine ou si la lune a fait des sienn...
« C’est par mon métier, dit le vie… Qu’à forc’ de vous cercler les ore… Dans l’ song’ de votre esprit rent… Ces grands espac’ q’ont l’air de p… Vos chants bourdonn’ comm’ ceux de…
Sonnet. Mannequin idéal, tête-de-turc du l… Eternel Féminin !... repasse tes… Et viens sur mes genoux, quand je… Me montrer comme on fait chez vous…
x<… Tiède et blanc était le sein. Toute blanche était la chatte. Le sein soulevait la chatte. La chatte griffait le sein.
Et toi, céleste ami qui gardes son… Qui le jour et la nuit lui fais un… De tes ailes d’azur ! Invisible trépied où s’allume sa f… Esprit de sa prière, ange de sa je…
L’Homme a été créé par l’homme Mais qu’y avait-il avant l’Homme… Qu’y avait-il avant l’oeuf, le pou… Ce dont je suis sûr, c’est que l’… Ces frontières sont comme une guér…
Toute cette nuit nous avons Relu le vieil ami Shakspere Aux beaux endroits que nous savons… Et voici que la nuit expire. Nous avons longtemps veillé, mais
Avertie mais abattue Vaincue dans mon jeu Sans défense prévue Sans sens, sans issue. Labyrinthe de doutes
Cette amie venue Toi qui ressemblait aux autres fil… C’est vers toi que mes yeux sintil… Malgré les apparences tu es l’élu… Et de ce fait, tu es la source de…
23h00 l’heure où tout bascule, tri… Cœur serré, une douleur apparaît,… Une bulle se forme, l’air se coupe… La gorge serrée j’entends mon cœur… Puis le soleil fait surface, mon c…
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…
Chaque fois, ta chevelure de lumiè… M’éblouit d’une lueur crépusculair… Illumine mon esprit d’une joie ple… Et transperce les ténèbres de mes… Chaque fois, ta chevelure de lumiè…
Je me souviens de mon enfance Et du silence où j’avais froid ; J’ai tant senti peser sur moi Le regard de l’indifférence. Ô jeunesse, je te revois
(Épigramme.) Quand quelqu’un dit à une femme Qu’elle est prodigue du corps sien… Il est sot en la haute gamme ; Car ce qu’il dit ne sert de rien :
Quand on est heureux, on n’a pas d… On se cache, on s’aime à l’ombre,… Rien de glorieux, pas de fait noto… Le monde oublié ne vous connaît pa… Si quelqu’un pourtant, avec un sou…
Hier était la veille de mon départ le début du grand voyage l’instant si précis où mon père
Ce rusé Calabrais tout vice, quel… Chatouille à son ami, sans épargne… Et faisant rire ceux que même il é… Se joue autour du cœur de cil qui… Si donc quelque subtil en mes vers…
Enfants ! fils des héros disparus… Qui firent mon pays plus grand que… Et qui s’en sont allés, dans l’abî… Vous que nous voyons rire et jouer… Sur vos fronts innocents la sombre…
Quel aléatoire aléa, cette Léa. Aussi craquante qu’un beau petit q… Elle bout le sang de mes veines il… Aussi remplies qu’une cavité pallé… Aussi blanche que les fleurs d’un…
Si tu veux nous ferons notre maiso… Que nous y resterons les étés et l… Nous verrons alentour fluer l’eau… Et les arbres jaunis y redevenir v… Les jours harmonieux et les saison…
Sonnet XL. Un peu de mer tenait le grand Dul… D’Itaque séparé, l’Apennin porte-… Et les monts de Savoie à la tête… Me tiennent loin de France au bor…
Vous pensez tous avoir un bon ento… Des amis, des proches et des êtres… Des camarades, des sœurs et des fr… Mais au plus profond de vous, tout… Ils pourraient vous poignardés par…
Point n’ai fait un tas d’océans Comme les Messieurs d’Orléans, Ulysses à vapeur en quête... Ni l’Archipel en capitan ; Ni le Transatlantique autant
« Qu’est-ce qu’un homme Échos Éclair Éclats L’as-tu vue ? ».
Mes allées ensommeillées Ahmed Khettaoui /Algérie **A la mémoire de : Arthur Rimbau… **** Quand on me dit, en vain :
“ La vie ”, un mot absurde pas vrai ? pour quelques un c’est un cadeau, pour d’autres des jours éphémères là ou le soleil court le monde jour après jour sans aucune signification pour e...
Si par peine et sueur et par fidél… Par humble servitude et longue pat… Employer corps et biens, esprit et… Et du tout mépriser sa propre util… Si pour n’avoir jamais par importu…
Supposant dans un seul objet Tout ce que j’exigeais pour plaire… J’adorais un être parfait, Et le croyais imaginaire. L’Amour, quand il m’offrit tes tr…
Le feu couve au brasier Les regards les attentes Tous ces visages-là penchés près d… Où se lit l’histoire simple et mag…
L’aurore désirée, ô filles de Byb… A déployé les plis de son riche pé… Ses yeux étincelants versent des p… Sur la pente des monts et les moll… Et, dans l’azur céleste où sont as…
Les bras se levaient vers la croix et la tête restait pendue au flot de ses cheveux, sous la lucarne. Sur les marches il n’y a plus que l’ombre que le soleil projette et les mains perdu...
O’ vent glorieux, Galope dans la plaine, Souffle sur cet éden, Danse par delà les cieux. O’ vent vagabond,
Épigramme. Le bossu dit au boiteux, chancelan… Comme un bateau qu’on pourmeine (*… Ô que tu sais des nouvelles, galan… Toi qui toujours vas de coté et d’…
Arrête, esprit sublime ! arrête ! Du sort crains de braver les lois… Dieu qui commande à la tempête L’agite sur le front des rois ; Son bras pourra réduire en poudre
C’est l’antique forêt aux mille en… Le tilleul aux fleurs d’or embaume… Et la lune pensive, astre cher aux… Fait germer dans mon cœur d’ineffa… J’allais, et j’entendis,—poète las…
Poètes, peintres parlants, que vou… Peintres, poètes muets, que vous s… Des feux, des fouets, des fers, de… Des rages, des fureurs, des lieux… Pour exprimer l’horreur des enfers…
On entend l’Océan heurter les pro… De lunaires clartés blêmissent le… Où l’homme perdu, seul, épars, se… Le vent du nord, sonnant dans les… Sur les choses sans forme épand l’…
L’Automne Dans les bois où loge les grands c… Se répand ici-bas une curieuse atm… Aujourd’hui je remarque une nature… Qui semble se ternir dans une fati…
Je déménage, un nouveau départ, solitaire et célibataire, ma présence en ce lieu inconnu me… cette ville me regarde du coin de…
Chantée au ballet du triomphe de… 1615. Cette Anne si belle, Qu’on vante si fort, Pourquoi ne vient-elle ?
À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,
Sur le bonheur des justes, Et sur le malheur des réprouvés. (Tiré de la Sagesse, chap. 5.) Heureux, qui de la Sagesse Attendant tout son secours,
Il y a des mains qui passent Quelque chose passe dans le vent Trois têtes au moins se balancent Mes yeux partent à fond de train J’arriverais à temps
Je suis né deux fois, Quand l’univers a vu mon premier d… Et quand pour la première fois, J’ai écrit pour toi. Il y a 1 ans et 10 mois,
Je fus jadis Hercule, or Pasquin… Pasquin fable du peuple, et qui fa… Le même office encor que j’ai fait… Vu qu’ores par mes vers tant de mo… Aussi mon vrai métier, c’est de n’…
La jalousie Par delà les bons sentiments heure… Existe certains qui laissent malhe… Par ces mauvaises pensées qui chag… De douloureuses larmes que les yeu…
Cette virago, Ce militaire, Cet homme gros qui sent le suint d… Cet homme noir qui sent le curry, Cet enfant qui se tient sur le seu…
L’élan L’arrêt la balance au bout du traj… Tout porte à faux les mots le drap… Il naît sous l’aile de papier l’être remue
C est le champ de poésie . C est le récit du moulin bleu . Des nuances sur le journal symphon… Des hommes gay et heureux . J écris des mots pour mes aventure…
Elle est née un joli dimanche de p… Son père qui croyait en Dieu, com… Et sa mère, cœur simple et plein d… Pieusement l’avaient nommée Anne-… Du nom, choisi par eux entre les n…