Un vieux renard, mais des plus fin… Grand croqueur de poulets, grand p… Sentant son renard d’une lieue, Fut enfin au piège attrapé. Par grand hasard en étant échappé,
Ciel pur dont la douceur et l’écla… Monts blanchis, golfe calme aux co… Votre splendeur m’attriste, et sou… Votre divin sourire a fait monter… Du compagnon chéri que m’a pris le…
Voix, la colline est bleue et déjà… A sur le blanc chemin répandu ses… Les portes des maisons s’éclairent… —Éva, soit sans orgueil, sans prud… Le soleil tout le jour a brûlé ta…
Sans le vouloir, sans le voir même… D’un cœur éveillant le poème, On peut, hélas ! faire souffrir, Faire vivre et faire mourir Ce cœur qui dans l’ombre nous aime…
Aimer la Vérité, C’est aimer dans son cœur une Naï… Le peintre la demande aux rires de… * Sans la beauté de Dieu, le cœur d…
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Sonnet CXXIV. Le roi (disent ici ces bannis de… Du sceptre d’Italie est frustré d… Et son heureuse main cet heur n’au… De reprendre aux cheveux la fortun…
Quand je m’assieds sous le sapin, Grave et seul dans ma rêverie, J’oublierais là soir et matin Tout, jusqu’aux fleurs de la prair… Sous le sapin.
Sonnet. Puisqu’il n’est point de mots qui… Ce soir, mon âme triste en vouloir… Qu’un archet pur s’élève et chante… Pour mon rêve jaloux de ne se défi…
Or, le sage, parti dès son adolesc… Pour juger les flambeaux qui le de… Savait à quel néant marche la conn… Et confondait la vérité d’une croy… Avec l’or, qui vaudra ce qu’on a d…
Deux démons à leur gré partagent n… Et de son patrimoine ont chassé la… Je ne vois point de cœur qui ne le… Si vous me demandez leur état et l… J’appelle l’un, Amour ; et l’autr…
Contrerime LVIII. C’était sur un chemin crayeux Trois châtes de Provence Qui s’en allaient d’un pas qui dan… Le soleil dans les yeux.
Il est né, j’ai perdu mon jeune bi… Je le tenais si bien dans mon âme… Il habitait mon sein, il buvait me… Je le laissais jouer et tirailler… À qui vais-je parler dans mon cœur…
Comme hier, vous avez les soupless… Des tigresses et des jaguars, Vos yeux dardent toujours sous leu… L’or acéré de leurs regards. Vos mains ont, comme hier, sous le…
Quenouille, de Pallas la compagne… Cher présent que je porte à ma chè… Afin de soulager l’ennui qu’elle a… Disant quelque chanson en filant d… Faisant pirouetter, à son huys amu…
Va dire, Amour, ce qui cause ma p… A mon seigneur, que je m’en vais m… Et, par pitié, venant me secourir, Qu’il m’eût rendu la Mort moins i… A deux genoux je demande merci.
Bonjour, chers amis et lecteurs . C’est les Essais et la plume . Sous le ciel gris de la poésie . J ai préparé le café chaud coquin… Pour la muse divine Lucie .. qui…
Sonnet CVI. Qui niera, Gillebert, s’il ne veu… Au jugement commun, que le siège d… Qu’on peut dire à bon droit un par… Aussi bien que le ciel, n’ait son…
Pour toujours Malgré ces ami qui me sont venus, Ce soir mon coeur reste un peu per… Dans la mélancolie et la solitude, Oh, cela commence à devenir une ha…
Ô lèvres, fleurs de sang qu’épanou… Frais calice du souffle et rose du… Où, malgré moi, revient mon rêve s… Si douces que les mots ne peuvent… Lèvres, coupes d’amour après qui l…
Le feu couve au brasier Les regards les attentes Tous ces visages-là penchés près d… Où se lit l’histoire simple et mag…
Qu’à peu de gens convient le Diadème.Recueil : Les fables du livre VI (167...
Vous connaissez que j’ai pour mie Une Andalouse à l’oeil lutin, Et sur mon coeur, tout endormie, Je la berce jusqu’au matin. Voyez-la, quand son bras m’enlace,
Au sein des vastes mers, un aride… Contre qui vient mugir la colère d… Se hérisse de rocs, effroi des mat… Du Corse belliqueux c’est le rédu… Là naguère le Sort, allumant un f…
Belle épousée, J’aime tes pleurs ! C’est la rosée Qui sied aux fleurs. Les belles choses
Mes souvenirs sont si nombreux Que ma raison n’y peut suffire. Pourtant je ne vis que par eux, Eux seuls me font pleurer et rire. Le présent est sanglant et noir ;
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Comme un astre luit sur la terre, Sans que sa lumière s’altère Aux feux obscurcis d’ici-bas ; Ou, comme ces vagues lointaines, Qui, jamais n’ont baigné les plain…
Fable VI, Livre V. Quelques brochets jetés dans nos é… N’y sont pas tout-à-fait nuisibles… Craints des poissons de tous les r… Mais au fretin lui seul terribles,
L’Aigle donnait la chasse à maîtr… Qui droit à son terrier s’enfuyait… Le trou de l’Escarbot se rencontr… Je laisse à penser si ce gîte Etait sûr ; mais ou mieux ? Jean…