Vous me reprochez, entre tant, D’être chipé pour la boniche. Mais vous donner mon cœur, autant Porter des cerises à Guiche. Ne prenez pas cet air pointu
Frère et sœur, les petiots, se ten… Vont au rythme pressé de leurs bra… Des hauteurs et des fonds de grand… Devant eux le soir lourd assombrit… Survient l’orage ! avec tout l’esp…
Sonnet. Je ne vous ferai pas de vers, Madame, blonde entre les blondes, Vous réduiriez trop l’univers, Vous seriez reine sur les mondes.
Pour Henri le Grand, sur la de… absence de la princesse de Cond… 1609. Que n’êtes-vous lassées, Mes tristes pensées,
Ne lisez pas ces vers, si mieux vo… Les escrits de mon coeur, les feux… Non, ne les lisez pas, mais regard… Voyez comme ils ont joint leurs la… Oyez comme les vents pour moy leve…
On dit que tout passe par le regar… À la recherche de mon temps perdu,… Au bal de l’hypocrisie, vous porte… Lorsque l’on vous côtoie, nous y l… La spontanéité a décidé de mainten…
Je suis comme cette plante, Quand j’ai assez d’eau et de solei… Je bourgeonne, je grandi, et j’écl… Je m’accroche, quand le vent et le… Je bois l’eau de la pluie quand el…
Tout est si noir. Submergée par cette maladie mortelle appelée « tourments », la vie n’a que pour but d’être souffrance. Comparable à une nuit sombre d’hiver qui se prolonge même lorsqu...
Ici gît dans ce tombeau foireux Rud’En-Souppe le valeureux, Qui voyant la guerre entreprise Au pays, et qu’on le cherchait, Se cacha dessous la chemise
C’était la nuit ardente et le reto… Vaincue et triomphante et chasteme… Elle disait d’un ton de bien-être… Les roses s’effeuillaient sur sa t… Où murmurait encor l’âme des violo…
Pour Henri le Grand, sous le nom… au sujet de l’absence de la prince… sous le nom d’Oranthe. 1609. Donc cette merveille des cieux,
À Édouard Manet. Le vent, tiède éclaireur de l’assa… Soulève un brouillard vert de bour… La pluie et le soleil, le calme et… Les bois noirs sur le ciel, la nei…
Les paysages froids sont des chant… Et les jardins de mai de languides… Qui chantent doucement les péchés… Et mènent les amants à de douces c… Les paysages froids sont des chant…
Si tu ne sais, Morel, ce que je f… Je ne fais pas l’amour ni autre te… Je courtise mon maître, et si fais… Ayant de sa maison le principal so… Mon Dieu (ce diras-tu), quel mira…
Veux-tu savoir, Duthier, quelle c… Rome est de tout le monde un publi… Une scène, un théâtre, auquel rien… De ce qui peut tomber ès actions d… Ici se voit le jeu de la fortune,…
Quelle était donc, ainsi, tout de… Cette femme, là-bas, d’un si lugub… En me croisant, m’ayant laissé voi… Le crâne dans du linge et la figur… Mais, verte ! de ce vert végétal,…
Pour la première fois, quittant vo… Vous m’avez, hier soir, donné le b… Que j’allais près de vous ainsi, c… J’ai senti contre moi palpiter que… Mon visage soudain est devenu tout…
Sonnet LXXVIII. Je ne te conterai de Bologne et V… De Padoue et Ferrare et de Milan… De Naples, de Florence, et lesque… Meilleures pour la guerre ou pour…
C est la plume de l auteur . C est la rubrique de la gazette . Le chat cerbère .. c est le vieux… Qui as bien rouler sa botte . C est Alain le poète raconteur .
Sonnet CXXVI. Tu sois la bienvenue, ô bienheureu… Trêve que le chrétien ne peut asse… Puisque seule tu as la vertu d’enc… De nos travaux passés la souvenanc…
Couchants marins, orgueil des ciel… Pour mieux voir s’exalter leur lum… Viens sur la dune à l’heure où ren… Et regarde le soleil d’août, sangl… Descendre au large des Etaux.
Aimez vos mains afin qu’un jour vo… Il n’est pas de parfum trop précie… Soignez-les. Taillez bien les ong… Il n’est pas d’instruments trop dé… C’est Dieu qui fit les mains féco…
Fable X, Livre V. —Lève une tête un peu moins haute, Toi qui n’es bon qu’à me chauffer. Tes fruits sont affreux.—C’est ta… Ne devais-tu pas me greffer ?
Quand les trois déités à la charma… Aux pieds du blond Pâris mirent l… Pallas dit à l’enfant : Si ton cœ… Je te réserverai de terribles expl… Junon leva la tête, et lui dit :…
Sois-moi fidèle, ô pauvre habit qu… Ensemble nous devenons vieux. Depuis DIX ans, je te brosse moi… Et Socrate n’eut pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe
Sonnet LXXXVII. D’où vient cela, Mauny, que tant… D’échapper hors d’ici, plus le dém… (Et que serait-ce donc, si ce n’es… Nous y tient attachés par une douc…
Ô toi, lac immobile et serein, Miroir calme des cieux d’été, Ton onde limpide et cristalline Reflète l’infinie beauté. Quand je viens m’asseoir sur tes r…
Le Soleil est le tout-puissant Qui féconde, en éblouissant, Plaines, coteaux, monts et vallées… Les immensités étalées Sous leur plafond d’azur luisant.
Les corps humides s’amassent sur l… Les larmes souillent le sol de la… Dans laquelle ils ne reviendront s… Les lamentations ennuient les étoi… La musique soudainement se charge…
Sonnet. Je ne suis pas de ceux pour qui le… Au coin du feu, l’hiver, ont de gr… Car j’ai pour tous voisins d’intré… Rêvant de chiens dressés, de meute…
C’est le pervers Narcisse . C’est la double face hideuse . Des actes lourds et des paroles am… Une manipulation et un escroc . C’est le décalage entre les deux m…
Malgré la voix de la sagesse, Je voudrais amasser de l’or : Soudain aux pieds de ma maîtresse J’irais déposer mon trésor. Adèle, à ton moindre caprice
On voit mourir toute chose animée, Lors que du corps l’âme subtile pa… Je suis le corps, toi la meilleure… Où es-tu donc, ô âme bien aimée ? Ne me laissez pas si longtemps pâm…
Il n’est pas toujours véritable Que chacun aime son semblable, Puis qu’on voit d’un contraire sor… La plus camarde de la rue Être amoureuse devenue
Ce que l’on voit dans le temps où… Ne peut manquer d’attrister le reg… Tels nains grandis pensent être de… Et tout est faux en ce siècle bâta… La courtisane, après la quarantain…
Je suis devin, mes chers amis ; L’avenir qui nous est promis Se découvre à mon art subtil. Ainsi soit– il ! Plus de poète adulateur ;
Veux-tu laisser ici ta femme désor… Pour un peu de l’argent ? Hé, prê… Si tu ne la reprends aujourd’hui o… Foi de bon compagnon, tu ne l’aura… Réponse.
Sonnet XV. Panjas, veux-tu savoir quels sont… Je songe au lendemain, j’ai soin d… Qui se fait chacun jour, et si fau… A rendre sans argent cent créditeu…
Il chante encor, l’essaim railleur… Bien protégé par l’épine et le hou… Que le zéphyr caresse par bouffées… Diane aussi, l’épouvante des loups… Au fond des bois cache son cœur ja…
Grande amitié Depuis que Dieu est mon ami, Tout a changé dans cette vie, Elle me semble maintenant plus gai… Vers Dieu je souris désormais.
Vous qui me plaignez, ne me plaign… Vous qui m’enviez, n’ayez pas d’en… Mon destin est tel que je le voulu… Et Dieu fit sans moi mon cœur & m… J’ai su découvrir la sérénité
Il cache des rêves fanés au pied d… Fatigué et meurtri, à grands coups… Dans sa chambre éclairée par le so… Sur le papier, il signe comme le p… Sur la chaise, il se pose, la tête…
all… all… e t… – c… Il n’est pas de Samedi
Bois où je voudrais vivre, il faut… Depuis l’aube égayant les moissons… Jusqu’au soleil pâli des vendanges… J’ai voulu contempler la grande œu… Au bois j’ai vu passer, avec ma rê…
Je suis Lacheteau Alain . Je suis l écrivain français . Je suis né en Touraine . Je suis maçon bâtiment . Je suis gay passions .
Au revoir, Comme il est étrange de saluer son… De changer sans comprendre pourquo… On pense enfin réussir à voir. Comme il est étrange de tomber si…
Avec le masque du mensonge La parole suit son chemin, Rampe aujourd’hui, vole demain, Se raccourcit ou bien s’allonge. Elle empoigne comme une main
Quand je pense à tes yeux et que j… Si seulement je pouvais me souveni… Si notre fin commence maintenant,…
Épigramme. N’en déplaise à Ronsard, les této… À des boules ne sont comparés just… Car la boule ne sert que d’abattre… Mais un beau sein les fait redress…
J’ai le souvenir d’un prénom Dont je n’ai aucun souvenir J’essaie d’étancher Corps et âme L’abîme du savoir
(Sur leur impatience à paraître.) J’ai beau vous arrêter, ma remontr… Allez, partez, mes Vers, dernier… C’est trop languir chez moi dans u… La prison vous déplaît, vous cherc…
Triste tournant Te rappelles-tu mon amie, te rappe… En ces temps où l’on ne se quittai… Nous voguions dans un beau rêve, Nous espérions que jamais il ne s’…
Jean était un franc débonnaire, Jovial d’allure et de ton, Égayant toujours d’un fredon Son dur travail de mercenaire. Soucis réels, imaginaires,
Le sang injustement répandu est lo… C’est la rosée des cieux innocente… Qui ressort en moissons plantureus… Plus douce encore à ses veines tou… L’âme rouge dans elle de ses fils…
Le voilà, ce vieux môle où j’errai… Ainsi grondaient alors les rafales… Quand aux pâles clartés des fanaux… Si tristes à minuit, Le flux, en s’abattant pour envahi…
Chanson. Elle passe comme le vent, Ma jeunesse douce et sauvage ! Ma joie est d’y penser souvent : Elle passe comme le vent,
Le soleil parsème d’espoirs brisés L’écume qui reflète les désirs oub… Le moteur rugit et couvre ta voix Je suis si seul sur ce bateau où t… Je jette des vers
Il s’appelait Allah agbar Il était bien noir et arabe Et jouait l’élite des barbares Ensuite il fit le kamikaze Avec un énorme kebab
Ceux qui me comprennent, disent que je suis triste. Ceux qui ne me comprennent pas, demandent ce que je veux. Ma sœur me dit qu’il