Berger tant rempli de finesse, Contentez-vous d’être inconstant, Sans accuser votre maîtresse D’un péché que vous aimez tant. La nouveauté qui vous commande,
La vie est si souvent morne & déco… À l’ennui l’heure lourde est tant… Que le corps s’engourdit, Et que l’âme, fuyant les épreuves… S’envole & vient saisir à travers…
(Madam… Dieu ne plaise, Olympe, que je gr… Dessus ton corps comme un audacieu… Ne fut-ce pas dessus le mont Olym… Que les Titans firent la guerre a…
Un jour, tu cesseras de parcourir le monde comme si tu devais tout porter à bout de bras : le Soleil, le Ciel, les heures sombres de la nuit, l’instant secret où l’on frappe à ta porte ...
Voie lactée ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses Nageurs morts suivrons-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses
Quoi ! vous voulez, par bonté, que… Pour épargner ma paupière un peu t… Un peu lassée, au soir, me faire e… Lu par vous-même, un livre de mon… Vous liriez tout, Fauriel et Gaul…
À Emmanuel des Essarts. Ce n’est pas d’hier que d’exquises… Me l’ont révélée, un jour qu’en rê… J’allais écouter les chansons du v… Ce n’est pas d’hier que les teinte…
Perdu, Ne sentant plus rien, A part le vide et ses inconnus, Plongé dans un monde sans fin. Se dirigeant à l’instinct,
Le grand Lion est mort. Il reste… Les fouines, les chiens, les rats… Ces bêtes ne sont pas absolument i… Elles savent manger nos plus sales… Et peuvent nettoyer nos plus puant…
Forêt profonde... Il fait si sombre... J’entends quelqu’un avec moi qui m… et qui fait des gestes, Quelle est cette ombre ?
L’aimable et tendre Philomèle, Voyant commencer les beaux jours, Racontait à l’écho fidèle Et ses malheurs et ses amours. Le plus beau paon du voisinage,
À Madame ***. Et je vous ai revue, et d’espéranc… J’ai rougi ; près de vous un faute… Et votre œil sans courroux sur moi… Et je me suis assis, et nous avons…
Quand vous lirez, ô Dames Lionnoi… Ces miens escrits pleins d’amoureu… Quand mes regrets, ennuis, despits… M’orrez chanter en pitoyables carm… Ne veuillez pas condamner ma simpl…
Sonnet. Le russe est froid, presque cruel, L’allemand chuinte ses consonnes ; Italie, en vain tu résonnes De ton baiser perpétuel.
Mec La face des têtes Idoles Dans un coin où passe une voiture Tout dort
Les jours lumineux de nos fiançail… Les beaux jours que rien n’est ven… Mon cœur, ô mon cœur, comme tu tre… À leur souvenir ! Ô la triste vie, ô la vie amère,
Je vis, je meurs : je me brûle et… J’ai chaud extrême en endurant fro… La vie m’est et trop molle et trop… J’ai grands ennuis entremélés de j… Tout en un coup je ris et je larmo…
S’ILS ME DEMANDENT Dites de moi ce qui est irréparabl… ce qui n’était pas ou ce qui était… ombre cristalline sur ma vie. Dites de moi... que le vent a foue…
Ô rêves de jeunesse, éblouissant m… Qui vous arrachera de mon cœur épe… Qu’étaient donc ma raison, ma forc… Qu’ils aient fui pour un mot dans… Amour ! oh ! c’est bien toi dont j…
Quand ce soir tu t’endormiras Loin de moi, pour ta triste nuit, En songe pose sur mon bras Ton beau col alourdi d’ennui. Jette vers moi ce qui t’encombre,
Quand aurora recouvre le monde de… quand ses rayons du soleil passent… il faut force et courage pour s’ex… encore une journée à combattre encore une jounée à aimer
Ne me quitte pas Ô ma douce et belle, Tes sentiments s’entremêlent, Tu te sens si mal, Ta joie était si bancale.
Quand le Poète en pleurs, à la ma… Poursuivant les beautés dont son c… À travers les rochers, les monts,… Les nuages, les vents, mystérieux… S’élance, et plane seul, et qu’il…
L’étang mystérieux, suaire aux bla… Frisonne ; au fond du bois la clai… Les arbres sont profonds et les br… Avez-vous vu Vénus à travers la f… Avez-vous vu Vénus au sommet des…
Le soleil est toujours riant, Depuis qu’il part de l’orient Pour venir éclairer le monde. Jusqu’à ce que son char soit desce… La vapeur des brouillards ne voile…
J’ai comme envie de fuir ma vie Alors je regarde ces vidéos Qui me font vibrer et me donnent e… De vivre pour ces idéaux J’ai réussi ma vie
L’art des choix A l’heure où il nous faut prendre… Et quand elles se présentent à nou… Il faut savoir faire le bon choix… Mesurer les conscéquences que cela…
Amours de ma jeune vie S’éveillant dans cette vie nouvell… C’est une jeunesse heureuse qui se… Semée par des sentiments joyeux, Abondée par quelques éclairs amour…
À Mme N. Je voudrais, en groupant des souve… Imiter le concert de vos grâces my… J’y vois, par un soir d’or où vals… La libellule bleue effleurant les…
STANCES. 1586. Si des maux renaissants avec ma pa… N’ont pouvoir d’arrêter un esprit… Le temps est médecin d’heureuse ex…
Sonnet. J’ai rêvé l’archipel parfumé, mont… Perdu dans une mer inconnue et pro… Où le naufrage nous a jetés tous l… Oubliés loin des lois qui régissen…
Allons-y chers aventuriers À la découverte du monde À la conquête de votre curiosité Pour se mêler à la différence. Des langues
Voulant me croire aimé, vainqueur De mon âme triste et chagrine, Un jour que j’écoutais ton cœur Sous la rondeur de ta poitrine ; Loin que ton cœur, oiseau charmant…
Afin que ton renom s’étende par la… Autant qu’il monte au ciel engravé… Invoquant tous les Dieux, et répa… Je consacre à ton nom cette belle… Pasteurs, que vos troupeaux frisez…
J’irai chez vous, duc adorable, Vous dont le goût, la vérité, L’esprit, la candeur, la bonté, Et la douceur inaltérable, Font respecter la volupté,
Appareillage d’un brick corsai… « Quand… L’on ai… Cent vingt corsairiens, gens de co… À bord de la Mary-Gratis, ont mis…
Dans le ciel bleu l’étoile blanche… Pur diamant, Au sein des nuits parle et s’épanc… Au firmament ; La brise fait sa confidence
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Je n’ai de souvenir que ces grande… Les plaines de mon enfance aux hor… Où la prière hésite et s’égare sur… Là où toute merveille n’est que pa… Je n’ai connu de lieu élevé à son…
Sonnet CXVII. Celui vraiment était et sage et bi… Qui, connaissant du feu la semence… Être des animants la première orig… De substance de feu dit être nos e…
Les deux petits jouaient au fond d… La nuit les a surpris, une nuit d’… Qu’ils se tiennent tous deux par l… L’opaque obscurité les enclôt dans… Que faire ? les brebis qui paissai…
Enclavé dans les rails, engraissé… Leur petit potager plaît à mes rêv… Le père est aiguilleur à la gare d… Il fait honnêtement et sans rébell… Son dur métier. Sa femme, hélas !…
« Connais-tu le pays où fleurit l’… Ainsi chante Mignon sous un ciel… Les yeux vers l’horizon immense. Elle voit en esprit ce que nomme s… Et quand le dernier mot se meurt,…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Quand, au bord de chemin, vient la… Elle hésite un instant avant de le… Elle voudrait cacher sa course fug… Redoutant le chasseur qui la pourr… Dans ses grands yeux scintille une…
Loin des grands rochers noirs que… La mer calme, la mer au murmure en… Au large, tout là-bas, lente s’est… Et son sanglot d’amour dans l’air… La mer fauve, la mer vierge, la me…
L’homme de la mer Par de grands vents affolés, A travers des mers déchainées, Un homme se tenait debout, Sa main appuyée sur le genoux.
Au nom du roi Louis XIII. À l’occasion de la première guerre… 1614. Les funestes complots des âmes for… Qui pensaient triompher de mes jeu…
Sortons, Dilliers, sortons, faiso… Et fuyons désormais ce tumulte civ… Puisqu’on y voit priser le plus lâ… Et la meilleure part être la moins… Allons où la vertu et le sort nous…
Voyage spirituel Face a un monde où tout ne fait qu… Où les fardeaux que je porte sembl… Il vient un moment où il faut que… Et que je m’arrête de courir vers…
Adieu, mon joli cœur de rêve ! Souvenez-vous du Val-André Et de l’heure exquise et trop brèv… Où le soir mourait sur la grève Comme un andante de Fauré.
Sonnet. Si la vierge vers toi jette sous l… Le rire par sa mère à ses lèvres a… Si, tiède dans son corps dont elle… Le désir a gonflé ses formes demi-…
Quand j’aurai bien souffert de mon… Qui contenait le rythme et les ray… Sans l’avoir jamais vue, en des pl… Des hommes la cloueront, ironique… Car ce que j’ai chanté n’est encor…
Prison… Lors que ma douleur secrète, D’un cachot aveugle jette Maint soupir empoisonné, Tu m’entends bien sans parole.
Ministre financier, que la France… Que les heureux aînés ont appelé l… Et qui, sachant que l’or pourrait… Cherche de tous côtés des gens à c… Permets qu’émerveillé de tes talen…
Vous mîtes votre bras adroit, Un soir d’été, sur mon bras... gau… J’aimerai toujours cet endroit, Un café de la Rive-Gauche ; Au bord de la Seine, à Paris :
Sonnet CXV. Ô que tu es heureux, si tu connais… D’être échappé des mains de cette… Qui sous un faux semblant d’amitié… Nous dérobe le bien, et la vie, et…
A vous, puissans du monde, à vous,… Qui tenez dans vos mains et la pai… À vous de décider si lassés de sou… Les grecs ont pris le fer pour vai… Si du Tage au Volga, de la Tamis…
Comme un prince à genoux, le voyageur imprudent, adresse une prière à la terre. Aimer Les bonheurs simples,
Sonnet. Toi dont les yeux erraient, altéré… De la couleur divine au contour im… Et de la chair vivante à la splend… Dors en paix dans la nuit qui scel…