Tableau X. Cependant Valsin infidèle Ne cessa point d’être constant ; Justine, aussi douce que belle, Pardonna l’erreur d’un instant.
Sonnet. Le soir, la solitude et la neige s… Pour faire un paysage affreux de c… Blêmissant au milieu dans un demi-… Tandis que ses lointains d’obscuri…
Il pleut des cordes Le temps est morne Résidus de solitude Auto-lassitude Une tempête sauvage
Le temps passé dans une chambre où tout est noir reviendra plus tard. Alors j’apporterai une petite lampe et je vous éclairerai. Les gestes confus se préciseront. Je pourrai donner un s...
Dans l’obscurité, les corbeaux, se nourrissent, de mon âme. Dans un temps,
Un poète est parti ; sur sa tombe… Pas un chant, pas un mot dans cett… Dont la douceur divine ici-bas l’e… Seul, un pauvre arbre triste à la… Le saule qu’il rêvait, au vent du…
Parfois, c’est vraiment épuisant, C’est, comme un vil étouffement, C’est, comme l’emprisonnement, Parfois, c’est vraiment accablant. Ce monde-là d’obligations,
Quand Orphée autrefois, frappé pa… Près de l’Hèbre tomba, sur les va… On vit longtemps encor sa lyre sur… Le fleuve au loin chantait sous le… Le gai zéphyr s’émut ; ses ailes a…
Quand tu me plaisais tant que j’en… Quand je mettais l’ardeur et la pa… Quand je riais sans joie et souffr… Afin d’être un climat constant aut… Quand ma calme, obstinée et fière…
Par mon amour et ma constance, J’avais cru fléchir ta rigueur, Et le souffle de l’espérance Avait pénétré dans mon coeur ; Mais le temps, qu’en vain je prolo…
La satire à présent, chant où se m… Bouche de fer d’où sort un sanglot… N’est plus ce qu’elle était jadis… Quand on nous conduisait, écoliers… À la Sorbonne, endroit revêche et…
Treize ans ! et sur ton front aucu… Ne viendra, pauvre enfant, invoque… Treize ans ! et dans ce jour nul r… Ne fera d’allégresse épanouir ton… Orpheline, c’est là le nom dont tu…
Pourquoi, courtisane, Vendre ton amour, La fleur diaphane, La fleur diaphane Que fleurit le jour
Déjà la vie ardente incline vers l… Respire ta jeunesse, Le temps est court qui va de la vi… De l’aube au jour qui baisse, Garde ton âme ouverte aux parfums…
Synopsis : Poème dédié à la mort… Vers en 6 pieds Oh le maudit chagrin A ceux follement aimés Oh le maudit chagrin
Les haches sonnent dur, le sol est… A la terre, les gels d’automne se… —Amante qui chassa l’amant par las… Et souffre, tant qu’un autre amour… Douleur inhérente aux changements…
Fantaisie haletante comme manqueme… Les mots et les idées qui entrent… Fuir vers ce que bon nous semble i… Charmé par cette personne, ce lieu… Champ magnétique imperceptible, in…
La nuit avec ses mains d’insidieux… Jumelle du néant sardonique et bla… Hier, la nuit, qui tient le sarcas… Délaya dans mon cœur la morgue et… Alphabet primitif, simple mnémotec…
Contrerime LXVI. Sur l’océan couleur de fer Pleurait un choeur immense Et ces longs cris dont la démence Semble percer l’enfer.
A la suite du temps présent du dégoût soulevé le flanc couvert… Avec toutes la place pour le même… le métal de l’esprit lavé La main tiède sur la prunelle
Lienzos de espinas se enredan dent… Sofocan – Asfixian – Dan placer. La sensación, sucumbo ante el dolo… ya no soy nada. Cálidamente me abraza como una ama…
Le poète s est fait sodomisé . Tu vois .. il as reçu dans les en… Un bon pénis long et large .. DI… Le jus dégoulinait de son cul ouve… Sa bite venait de defoncer l anus…
C’est ici qu’oublieux des soucis q… Volontiers on s’arrête, à moitié d… C’est ici qu’un vin clair égayé et… Ainsi l’indique au moins cette bra… Suspendue à la porte.
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
(Épigramme.) Si ôter je te pouvois, Une fois, Ce que je t’ai su apprendre, Tu me viendrois caresser,
Le vieux qui, vert encore, approch… Me dit : « Malgré l’soin d’mes en… Et les bontés d’mon voisinage, J’suis seul, ayant perdu tous ceux… Vous ? vot’ génération ? Ça s’bala…
Quand autrefois dans cette arène, Où tout mortel suit son chemin, En coureur que la gloire entraîne, Je m’élançais, l’âme sereine, Un flambeau brillant à la main ;
Le cœur de l’homme Petit garçon frêle et sensible, Pour toi le bonheur parait impossi… Ici et là tu viens tu passes, Jamais l’on ne voit que ton cœur s…
Tu me fis d’imprévus et fantasques… Un soir que tu t’étais royalement… Haut coiffée, et ruban ponceau dan… Qui couronnaient ton front de leur… Tu m’avais dit « Je suis à toi si…
Hélas, depuis les jours des suprêm… Tes compagnes sont la frayeur et l… Tu n’as plus pour pays que des lam… Et des plaines en feu sur l’horizo… Anvers et Gand et Liége et Bruxe…
Si je trépasse entre tes bras, Ma… Il me suffit, car je ne veux avoir Plus grand honneur, sinon que de m… En te baisant, dans ton sein rendr… Celui que Mars horriblement enfla…
Douce vérité Jamais je n’ai autant rêvé, De toutes ces choses qui me sont a… Ces joies et ces peines qui me son… Ces rires et ces larmes qui me son…
La forêt songe, bleue et pâle, Dans un féerique demi-jour. Tout s’y voit spectral, d’aspect s… Par cette nuit d’ambre et d’opale. Là, c’est un cerf blessé qui râle.…
Comte, qui ne fis onc compte de la… Ton Du Bellay n’est plus : ce n’e… Qui dessus un ruisseau d’un dos co… Et n’a plus rien de vif, qu’un pet… Si j’écris quelquefois, je n’écris…
Que dis-tu ? Que fais-tu là-bas,… Écris-moi plus souvent encore, je… Je suis dans un torrent de bruit.… Je veille, je dors mal ; j’écris,… Dans l’immense Paris, sans trêve…
Sonnet. L’autre nuit, je veillais dans mon… Et la verve en mon sein à flots si… S’amassait, quand soudain, frappan… L’éclair, comme un coursier à la p…
L’ombre versait au flanc des monts… Le chemin était bleu, le feuillage… Et les palmiers tremblaient d’amou… L’enfant de Magdala, la fleur de… Gémissait dans la pourpre et l’azu…
« Ma barque est tout-à-l’heure aux… Le ciel devient plus sombre et le… Je touche aux bords où vont cherch… Celui qui marche droit et celui qu… Oh ! quelle ombre ici-bas mon âme…
C est le chapitre du vendredi . J adore les bonnes bites épaisses… J adore branler quelques queues . Et venir sucer les beaux glands cr… J ai la gorge profonde .. s’ y tu…
1835. Seigneur ! vous êtes bien le Dieu… Que deviennent sans vous ces homme… Si d’un souffle divin vous animez… Ils montent jusqu’aux deux, en sai…
La Bête féroce. Lui qui sifflait si haut, son peti… Était plat près de moi ; je voyais… Et ne trouvait pas, et... j’aimais… Ce héros qui n’a pas su trouver qu…
HÉRITAGE Je pars et je vous laisse ces sile… Silences des flammes et des rigueu… Qui précédent rêves et nostalgies… vaines alternatives
Je n’ay plus que les os, un squele… Decharné, denervé, demusclé, depou… Que le trait de la mort sans pardo… Je n’ose voir mes bras que de peur… Apollon et son fils, deux grands m…
Si j’étais noble Faucon, Tournoierais sur ton balcon... –Taureau : foncerais ta porte... –Vampire : te boirais morte... Te boirais !
Sur les monts vaporeux la nuit jet… Mon œil suit lentement sa marche d… Et je vois s’avancer, resplendissa… Son char silencieux. Le vent du soir émeut les feuilles…
Fable IX, Livre IV. Prétendons-nous au même office ; Aspirons-nous au même objet, Sous-lieutenance ou bénéfice, Trône ou fauteuil ; en ce projet,
Ce que je te suis te donne du dout… Ma vie est à toi, si tu la veux, t… Et loin que je sois maître de tes… C’est toi qui conduis mon rêve où… Avec la beauté du ciel, en toi vib…
Après avoir lavé les puissants muf… De ses vaches, curé l’égout et la… Troussé son jupon lâche à hauteur… Ouvert, au jour levant, une porte… Kato, la grasse enfant, la pataude…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
TOUS MES ESPOIRS BRISES Tous mes espoirs brisés contre les récifs d’un rivage tout aussi torturé que moi par le… Tous mes espoirs se sont dispersés
Non, non, je ne suis pas de ces fe… Et rendent ce dernier service à le… Pour qu’ils vivent en paix & sans… Vois-tu, ces dévoûments sont niais… Les hommes, je le sais, se complai…
Jeune levrette, au poil d’ébène, Au flanc mince, au col assoupli, Ton dos, où ma main se promène, A l’éclat de l’acier poli. Tu dresses tes noires oreilles
Bien au delà des jours, des Ans m… Du vertige des Temps dont la fuit… Voici ce que j’ai vu, dans l’immua… Qui me hante, depuis les songes ou… J’errais, seul, sur la Terre. Et…
Les vrais voleurs professionnels d… vérité et prétendent être des homm… Les pensées de regret viennent tar… le cours de la vie. La sagesse de la vie nous guide lo…
(Épigramme.) L’héritier va pleurant le mort, Pour la vieille coutume ensuivre ; Mais si le mort retournait vivre, L’héritier pleurerait plus fort.
Pour M. le duc de Bellegarde, À madame la princesse de Conti. 1608. Dure contrainte de partir, À quoi je ne puis consentir,
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
Une mort féroce Nous laissant que peu d’espoir de… Un prédateur maléfique nous suit à… Rodant derrière nous, scrutant cha… Avant de nous ôter la vie avec fra…
C’est comme si, il était dur voir impossible de me mentir à travers le regard précédent. Je sens tant de bonnes choses mais également ce côté tranchant. Ce serait si bon de ne pouvoir l...
Aux branches que l’air rouille et… Comme par un prodige inouï du sole… Avec plus de langueur et plus de c… Les roses du parterre ouvrent leur… Dans sa corbeille d’or, août cueil…