Sonnet. Ce qui m’excite à t’aimer, ô mon… Ce n’est pas l’heureux ciel que mo… Ce qui m’excite à t’épargner l’off… Ce n’est pas l’enfer sombre et l’h…
La feuille vole cachant l’ombre Un jour de plus vient s’ajouter au… Les passants arrêtés à l’étage au-… Quelqu’un descend L’araignée monte
Je mourrai de mon désespoir Si vous n’y trouvez un remède. Exilé de votre boudoir, Je mourrai de mon désespoir. Pour votre toilette du soir
Je déteste ce silence qui m’agripp… je verrouille ma porte, dans l’obscurité de cette nuit san… le froid s’installe, j’ai besoin de passion pour me réc…
Connaissez-vous ces monts dont la… Oppose son silence au bruit des fl… Au sein de leurs rochers est un pi… Cher aux êtres souffrants. C’est là que chaque jour de ferven…
rightRome, villa Paolina. Non, tu ne connais pas encor Ce sentiment d’ivresse et de mélan… Qu’inspire d’un beau jour la splen… Toi qui n’as pas vu les flots d’or…
C’était un beau spectacle au milie… La lune qui sortait de ses voiles… Et qui glissait entre deux tours ; L’orage qui là-bas s’avançait dans… Le château qui voyait, de ses tête…
Le train de la vie La vie est un voyage que l’on croi… Elle révèle son humeur variable dè… Loin d’être monotone, sans qu’on y… On ne se ravit guère de ce qu’elle…
Sonnet. Comme il était bien, Lui, ce Jeun… Âpre à la vie Ô Gué !... et si dou… Comme il portait sa tête ou la cou… Hume-vent à l’amour !... qu’il pas…
Embrasse-moi, mon cœur, baise-moi,… Presse-moi, serre-moi ! À ce coup… Mais ne me laisse pas en ces douce… Car c’est à cette fois que je te p… Mon ami, je me meurs et mon âme as…
Sonnet. 1608. Voyant ma Caliste si belle, Que l’on n’y peut rien désirer, Je ne me pouvais figurer
C’est le grand jour des mascarades… Le bon public prend ses ébats, Et partout sur nos promenades Il fait cortège au mardi gras. Au froid, sur la dalle fangeuse,
Dans le silence et la grandeur des… La cité, riche avait jadis, dressé… De merveilleux autels,, tordus com… Cuivres, bronzes, argents, cartels… Les chefs vainqueurs et leurs sold…
Ah ! sous une feinte allégresse Ne nous cache pas ta douleur ! Tu plais autant par ta tristesse Que par ton sourire enchanteur À travers la vapeur légère
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
Stances irrégulières. À M… Le bonheur ici-bas tient à bien pe… Vous ne l’ignorez pas ; vous savez… Que le sort au hasard porte souven…
Fable XVI, Livre III. Sans la pièce de bœuf il n’est poi… Combien, en fait de bœuf, n’a-t-on… En plus de cent façons je crois qu… L’un veut qu’en miroton le bœuf so…
Est-il bien vrai qu’au séjour des… De si brillantes fleurs sous vos m… L’esprit fait les climats, l’espri… Dans nos jardins vous répandez des… Brillant comme l’été, doux comme l…
Il est un arbre fier, droit, austè… Que n’aime pas l’oiseau, ni la fle… Ni la vigne flexible aux rameaux c… Floréal le dédaigne & brumaire l’o… Et jamais on ne voit que la tempêt…
Avant avoir appris à aimer, Adam avait avoué à Agatha aux air… avec autant admiration accordée à… Accès à abbé, abstrait absurde abr… Admiratif, affolé, à accompagner a…
Il est de ces longs jours d’indici… Où l’on voudrait dormir du lourd s… De ces heures d’angoisse où l’exis… Sur l’âme et sur le corps : Alors on cherche en vain une douce…
À Léo Hector Claretie. Tu dois venir de loin, pauvre peti… Mince, pâle, amaigri, traînant ta… —Je viens de Ploërmel (la route e… Et ma dernière étape est au Havre…
Le champ s’incline à la lumière Au bas du ciel bleu plus serein La route court sous la poussière Mais le soleil n’y est pour rien La voix qui monte est sans éclat
Sonnet. Dans un pesant repos d’après-midi… Les stalles en vieux chêne éteint… Et le jour traversant les fenêtres… Etale, au fond du choeur, des natt…
Viens, charmante saison, jeunesse… Viens animer encore le luth des T… Des fleurs que tu fais naître acco… Elles seront le prix de nos chanso… Voici venir le jour où la Reine d…
Ces nobles d’autrefois dont parlen… Ces preux à fronts de bœuf, à figu… Dont les corps charpentés d’osseme… Semblaient avoir au sol racine et… S’ils revenaient au monde, et qu’i…
Sonnet XXXVII. C’était ores, c’était qu’à moi je… Sans vouloir être plus que cela qu… Et qu’heureux je devais de ce peu… Vivre content du bien de la plume…
Se préparer Se lancer Hésiter Commencer Rater
S’évader avec toi Belle, belle est notre vie dans la… Intenses sont ces choses qui au fi… Il nous faut maintenant s’évader t… Échappons nous de ce monde pour su…
Le disque glorieux tombant dans le… Éclabousse d’éclairs le mur de la… Il semble que dans l’air apaisé to… Et que la mer farouche endorme son… La vague, avec un son mélancolique…
Simples ou parées, quelques qu’ell… Les lettres que nous envoyons aux… Les lettres de désir et d’amour et… C’est notre moi qui s’évade, Ce sont des êtres
Par un mobilisé du Morbihan.… Moral j… (Off.) Qui nous avait levés dans le Mois… Et parqués comme des troupeaux
C’est la plume de sang .. de Sun… C’est les mots .. qui nous brisen… Les épreuves .. que j avais trave… J avais déjà franchis les obstacle… Les cicatrices jamais fermées .
(Au nom de Madame de Fontaine-Ma… C’est mercredi que je soupais chez… Et que, sortant des plaisirs de la… Bientôt couchée, un sommeil prompt… Me fit présent d’un songe délectab…
Sonnet. Si mon âme claire s’éteint Comme une lampe sans pétrole, Si mon esprit, en haut, déteint Comme une guenille folle,
Maintenant qu’au plafond décli… Que l’absence dans sa paume rec… Et que tout sombre... Maintenant qu’un secret nous un… Une jeune femme, comme la grand…
Sous des cieux faits de filasse et… D’où choit morne et longue la plui… Voici pourrir Au vent tenace et monotone, Les ors d’automne ;
Amie de toujours Je t’ai toujours connu, ô tendre a… Toi et moi, toujours avons nous ét… En tout lieu, en tout temps nous r… C’est un beau destin qui nous asse…
C est la poésie du gland . C est le DIX sept sans poils . Tu vois .. il faut secouer la ban… Entre les trois doigts .
La vie Des instants passent, Et cette vie me lasse ; Un temps où l’on nait, Une fin où l’on dort a jamais.
S’il ne t’avait fallu que mon sang… S’il ne t’avait fallu que mes nuit… Tu sais comme j’aurais noué nos de… Par le bien, par le mal, mon cœur… S’il ne t’avait fallu, pour comble…
À Joseph Boulmier. Le rossignol n’est pas un froid et… Qui s’écoute chanter d’une oreille… Émerveillé du timbre et de l’ample… Virtuose d’amour, pour charmer sa…
Fable IV, Livre III. Un dogue se battait avec un chien… Pour moins qu’un os, pour rien ; d… Il faut presque aussi peu, je croi… Pour diviser les chiens que pour b…
Cependant que la Cour mes ouvrage… Et que la soeur du roi, l’unique… Me faisant plus d’honneur que n’ét… De son bel oeil divin mes vers fav… Une fureur d’esprit au ciel me con…
En l’an trentiesme de mon eage, Que toutes mes hontes j’eu beues, Ne du tout fol, ne du tout sage. Nonobstant maintes peines eues, Lesquelles j’ay toutes receues
Auprès de ce beau teint, le lys en… Le lait est basané auprès de ce be… Du cygne la blancheur auprès de vo… Et celle du papier où est votre lo… Le sucre est blanc, et lorsqu’en l…
Sonnet CXXIII. Nous ne sommes fâchés que la trêve… Car bien que nous soyons de la Fr… Si est chacun de nous à soi-même t… Combien la France doit de la guer…
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Le passé est fixé Et le futur à découvrir Le présent est éphémère C’est tout ce que peux dire Pendant beaucoup de temps
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
Je ne t’aime pas pour que ton espr… Puisse être autrement que tu ne pe… Ton songe distrait jamais ne pénèt… Mon cœur anxieux, dolent et surpri… Ne t’inquiète pas de mon hébétude,
9. Fentanyl mon amour jusques à quand… Les roses sont fleuries les lilas… L’été rebique et toi non pourquoi… Autrefois la nature donnait de quo…
On ne voit rien au Ciel, en la te… Au feu, en l’eau, à l’air, qu’en l… Mon esprit affligé n’aille se mart… Et mon âme sur soy cruellyse insol… Quand une âme céleste, une paresse…
Tenez ! fit le soulard à bonnet de… Allumant ses yeux ronds dans sa fi… J’ai connu plus buveur que moi. V… De celui qu’on app’lait l’maître i… « Puisque ma femme est mort’, moi…
Traduites du latin d’Audoenus (Ow… LIV. I, . Ép. 30. Jeanne, toute la journée, Dit que le joug d’hyménée Est le plus âpre de tous ;
Quand je me suis levée avec le pet… Au coin de la vitre bleutée La lune toute ronde et d’un pâle v… Penchait sa figure effacée. La brume caressait les arbres du l…
Le sang de l’innocent a tant rougi… La force a tant pesé sur le monde… Qu’on craint toujours de voir dans… Du génie et des arts le soleil écl… Refrain :
Dans la lutte implacable de l’homm… Dans la mécanique sévère le cylind… L’homme né vigoureux progresse au… La campagne est déserte et sinistr… Mais personne ne passe
Nous lisons dans Legrand du Saull… Que le crétin a du goût pour L’arithmétique...tiens ! c’est drô… Et la musique...du tambour. Qu’il a du goût pour la peinture ;
(Mis en musique par Lambert en 16… Voici les lieux charmants où mon â… Passait à contempler Silvie Les tranquilles moments si douceme… Que je l’aimais alors ! Que je la…