Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
Ni vu ni connu Je suis le parfum Vivant et défunt Dans le vent venu ! Ni vu ni connu
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
Là, du haut de ma tour, moi je vou… Par devers le marais, au plus loin… Lors, quand viendra ce jour, je vo… En mon humble palais, vous y serez… Au feu de nos amours, s’embrasera…
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
Dans une terre grasse et pleine d’… Je veux creuser moi-même une fosse… Où je puisse à loisir étaler mes v… Et dormir dans l’oubli comme un re… Je hais les testaments et je hais…
Un Ange furieux fond du ciel comm… Du mécréant saisit à plein poing l… Et dit, le secouant : « Tu connaî… (Car je suis ton bon Ange, entend… Sache qu’il faut aimer, sans faire…
C’est pas seulement ma voix qui ch… C’est l’autre voix, une foule de v… Voix d’aujourd’hui ou d’autrefois Des voix marrantes, ensoleillées Désespérées, émerveillées
C’est le champoésies entre les qu… Du moulin de Charbonnet .. c’est… C’est le manuscrit .. c’est le cl… Des nuances colorées .. les cinqu… Les fragments pour trouver des ave…
Nous regardions nos arbres, c’étai… De la terrasse qui nous fut chère,… Se tenait près de nous cette fois… Mais en retrait, hôte silencieux Au seuil de la maison en ruines, q…
Oranges des orangers citrons des c… Mystères fastueux et journaliers La vie est belle je me tue à vous le dire dit la fleur
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
L’amour est clair comme le jour l’amour est simple comme bonjour l’amour est nu comme la main c’est ton amour et le mien pourquoi parler du grand amour pourquoi chanter la grande vie ? ...
Il dit non avec la tête mais il dit oui avec le cœur il dit oui à ce qu’il aime il dit non au professeur il est debout
Ce ne sont qu’horizons calmes et p… On voit sur les coteaux des chasse… Le reste du pays, sous le ciel gri… Est une plaine avec une église au… Un lierre monstrueux à tige arbore…
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
Ô frères ! tristes lys, je languis… Pour m’ètre désiré dans votre nudi… Et vers vous, Nymphe, Nymphe, ô… Je viens au pur silence offrir mes… Un grand calme m’écoute, où j’écou…
Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute
La sottise, l’erreur, le péché, la… Occupent nos esprits et travaillen… Et nous alimentons nos aimables re… Comme les mendiants nourrissent le… Nos péchés sont têtus, nos repenti…
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
A Fontainebleau Devant l’hôtel de l’Aigle Noir Il y a un taureau sculpté par
Les clefs de la ville Sont tachées de sang L’Amiral et les rats ont quitté l… Depuis longtemps Sœur
Je t’aime pour toutes les femmes q… Je t’aime pour tous les temps où j… Pour l’odeur du grand large et l’o… Pour la neige qui fond pour les pr… Pour les animaux purs que l’homme…
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
J’implore ta pitié, Toi, l’unique… Du fond du gouffre obscur où mon c… C’est un univers morne à l’horizon… Où nagent dans la nuit l’horreur e… Un soleil sans chaleur plane au-de…
IDYLLE. Maintenant sous le ciel tout re… Lamartine Sur l’herbe du verger, au pied de… Le jeune homme est assis près de l…
souliers et ils passent devant elle et la saluent très bas de temps en temps elle leur jette un vieux cure-dents ils le sucent avec ravissement en continuant leur promenade leurs soulie...