Le jour vient de tomber, jour brûl… Qui laisse, en s’éteignant, un cré… Dont la lueur descend en reflet ar… Sur l’enfant chaste et nu, qui mol… Insoucieux, il dort ; pour lui le…
La paix, toujours et vainement bri… La paix me fuit ; oh ! je suis fat… Je voudrais vivre, et ne veux plus… Vivre, pour moi, serait ne rien en… Ne rien prévoir, surtout ne rien a…
Sonnet LXVIII. Je hais du Florentin l’usurière a… Je hais du fol Siennois le sens m… Je hais du Genevois la rare vérit… Et du Vénitien la trop haute mali…
A cause de l’eau le toit glisse A cause de la pluie tout se fond Le pétrole l’alcool et ma faible b… Ont incendié la maison Un jardin sans oiseaux
Dans l’ombre silencieuse de la solitude, Les mots se réveillent, écho d’une âme en quête. Ils dansent, légers, sur les rives de l’incertitude, Porteurs de secrets, de douleurs, de prome...
Salaün chantait sous les deux dole… —Las de son stérile et morne veuva… Mon cœur est parti sur la mer sauv… Avec les pluviers et les goélands. « Prends garde ! » disaient les pl…
Tu t’arrêtes, tu la regardes, tu essaies d’attirer son attention, tu essaies de lui montrer que tu l’aimes, mais elle, elle continue sa marche dans le Ciel, ne daignant même pas te jete...
La voilà, pauvre mère, à Paris ar… Avec ses deux enfants, sa fidèle c… Veuve, et chaste, et sévère, et to… Elle les a, seize ans, élevés sous… En province, en sa ville immense e…
Quand j’aurai bien souffert de mon… Qui contenait le rythme et les ray… Sans l’avoir jamais vue, en des pl… Des hommes la cloueront, ironique… Car ce que j’ai chanté n’est encor…
Quand je vais triste et seule, et… Je suis quelque nuage errant sur l… Et, comme ces draps noirs qu’on me… Couvrant des boulevards les arbres… Lorsqu’au bourdonnement de ce chao…
(Épigramme.) L’héritier va pleurant le mort, Pour la vieille coutume ensuivre ; Mais si le mort retournait vivre, L’héritier pleurerait plus fort.
Voici quatre-vingts ans,—plus ou m… On plutôt un vicaire, au comté de… Vivait, chétif et pauvre, et père… C’était un de ces cœurs dont l’exc… Sur le front, dans les yeux, dans…
A travers la pluie dense et glacée… Mais ses souliers trop grands sont… O monde sans abri qui vas ce dur c… O monde qui les méprises, tu me fa…
Quelle incroyable merveille tu es. Tes talents artistiques me captive… Chacun de tes beaux dessins m’a tu… Tant leur excellence m’est attract… Ta culture est si riche, je l’admi…
Après nous être mis là par miracle… Je nous vois tous deux filer le pa… Je ne cesse de vouloir te voir cha… T’embrasser en fixant tes yeux ver… Alors nous passons souvent du temp…
Lui Sa main Son corps Son coeur Ses lèvres
Sans feu Paris ne peut plus vivre… Il court, tout crispé de frissons, Secouant sa barbe de givre Et son lourd manteau de glaçons. Sous la laine où le vent pénètre,
Qu’on parle mal ou bien du fameux… Ma prose ni mes vers n’en diront j… Il m’a fait trop de bien pour en d… Il m’a fait trop de mal pour en di…
Frères, j’ai fait déjà deux fois l… J’ai coudoyé partout la foule des… Aux abîmes profonds quand j’ai jet… Le vice a dépassé le nombre des ve… Le mal porte en tous lieux sa seme…
Cygnes au blanc plumage, au port m… Est-il vrai, dites-moi, qu’un chan… De vos jours écoulés rompant le lo… Lorsque va se briser votre frêle e… Comme un cri de bonheur s’élève ve…
Amour qui voles dans les nues, Baisers blancs, fuyant sur l’azur, Et qui palpites dans les mues, Au nid sourd des forêts émues ; Qui cours aux fentes des vieux mur…
Le bonheur, j’imagine, C’est d’être à carnaval Pressant la taille fine D’une danseuse au bal, Danseuse jamais lasse
Stance IX. Liberté douce et gracieuse, Des petits animaux le trésor, Ah liberté, combien es-tu plus pré… Ni que les perles ni que l’or !
Pauvre faune qui va mourir Reflète-moi dans tes prunelles Et fais danser mon souvenir Entre les ombres éternelles. Va, et dis à ces morts pensifs
Quelle tranquille bienveillance Près de ces eaux remuées Où le soleil se balance En traversant la feuillée. Seul le rêve voit nos danses
Du chef-d’œuvre toujours un cœur f… L’art, au fond, n’est qu’amour. P… Soit qu’on ait la palette en main… Il faut une âme ardente et qu’un c… Après tout, tes enfants ne sont po…
À M. B *** Lorsqu’autrefois, au seuil des sai… Des rois, couverts d’un sac, et ba… Les reins ceints d’une corde, et l… Venaient s’agenouiller repentants…
À Madame Sureau-Bellet. L’hirondelle frileuse au loin s’ét… Sous les dernières fleurs, les pap… Près des étangs voilés où crépitai… Sur des eaux sans miroir les grand…
Longueur du pénis . 13 cm .. pénis joyeux . 15 cm .. pénis crémeux . 17 cm .. pénis audacieux . 19 cm .. pénis vigoureux .
1621. Muses, quand finira cette longue r… De contenter Gaston et a écrire d… Le soin que vous avez de la gloire… Peut-il mieux s’employer qu’à si b…
Un dernier mot, Pascal ! À ton to… Pousser aussi ma plainte et mon cr… Je vais faire d’horreur frémir ta… Mais du moins j’aurai dit ce que j… À plaisir sous nos yeux lorsque ta…
Dans le ciel bleu l’étoile blanche… Pur diamant, Au sein des nuits parle et s’épanc… Au firmament ; La brise fait sa confidence
Fait conjointement avec la duch… de Bellegarde et le marquis de Ra… 1606. Qu’autres que vous soient désirées… Qu’autres que vous soient adorées,
Dixain. Muses, souvenez-vous du guerrier,—… Qui ne fut général ni polytechnici… Mais qui charma DIX ans les mâne… Cet invalide était la gaîté de son…
Tes yeux se posent sur mes pleurs Et mon cœur palpite vainement. Ces mots retournés à l’envoyeur S’entassent en moi difficilement. Il n’y a bientôt plus de place,
C’est le dernier chapitre .. le d… J avais gardé le long des années… Des souvenirs dans la mémoire ..… Combien de sols .. que j avais fou… Les vendanges de Septembre de l a…
Non, non, je ne suis pas de ces fe… Et rendent ce dernier service à le… Pour qu’ils vivent en paix & sans… Vois-tu, ces dévoûments sont niais… Les hommes, je le sais, se complai…
Fragments d’une ode. Les peuples, pipés de leur mine, Les voyant ainsi renfermer, Jugeaient qu’ils parlaient de s’ar… Pour conquérir la Palestine,
L’enchantement lunaire endormant l… Et le jour s’éloignant sur la mer… Comme une barque d’or nombreuse d’… J’ai rassemblé, d’un mot hâtif, me… Mes brebis et mes boucs devenus ta…
Sonner XXIV. Pauvre peintre aveuglé, qu’est-ce… A ce petit portrait où tu perds to… Essayant d’égaler de ton blanc arg… Ou du vermeil, le lys et l’oeillet…
C’est le plaisir de chevaucher le… Et de regarder la fleur du mâle . 21 centimètres .. c’est la bite d… 19 centimètres .. c’est le Bangal… 17 centimètres .. c’est le pénis j…
Depuis que sous les cieux un doux… Ma jeunesse en sa fleur, ouverte a… Si mon cœur a rêvé, si mon cœur rê… Le choix irrévocable et l’éternel… C’est qu’aux jours périlleux, touj…
Par la chaîne d’or des étoiles viv… La Lampe du ciel pend du sombre a… Sur l’immense mer, les monts et le… Dans la molle paix de l’air tiède… Bercée au soupir des houles pensiv…
Le rythme séducteur nous appelle ;… Lui répondre en mes bras, jeune fi… Valsons légèrement de tous côtés c… Et qu’en nous la clameur des besoi… Pendant que nous serons ensemble,…
J’ai vécu. Ce n’est pas que la mo… Mais en sondant mon cœur j’ai vu q… La fleur de poésie était toujours… Dieu bon ! et que jamais sur sa ti… N’avaient autant germé de boutons…
Vieux château de Windsor, dont le… Éveillent d’Albion les harpes roma… Livre au barde étranger quelque gr… Qu’il puisse avec ses chants légue… Naguère j’ai cru voir, sous tes po…
L’aigle noir aux yeux d’or, prince… Ouvre, dès le premier rayon de l’a… Ses ailes comme un large et sombre… Un instant immobile, il plane, épi… Là-bas, au flanc du roc crevassé,…
Notre maison est seule au creux de… Où le chant d’une source appelle d… Où le bout de jardin plein de légu… La roche qui nous tient dans son â… Septembre laisse choir sur les mol…
Après la guerre de 1621 et 1622 co… 1623. Muses, je suis confus ; mon devoir… À louer de mon roi les rares quali… Mais le mauvais destin qu’ont les…
Ô Déesse, qui peut aux princes éga… Un pauvre mendiant qui n’a que la… Et qui peut d’un grand roi faire u… S’il te plaît de son lieu le faire… Je ne te prie pas de me faire enrô…
La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide
C’était la nuit ardente et le reto… Vaincue et triomphante et chasteme… Elle disait d’un ton de bien-être… Les roses s’effeuillaient sur sa t… Où murmurait encor l’âme des violo…
Hôtes de ce séjour d’angoisse et d… Où Satan sur le seuil a mis : Plu… Qui vous brisez le front contre se… Et vîntes échanger, dans cette fan… La perpétuité des peines de ce mon…
D’où vient que l’âme humaine est a… Que jamais ses regards troublés et… N’ont pu s’accoutumer à la marche… Sur l’éternel chemin, chaque borne… Nous attriste. D’où vient ? Je ne…
Baisse la lampe. Il faut, les soi… Que nul geste, perçu distinctement… Le cours harmonieux du songe intér… Viens là tout près de moi, blottis… Le vent charge au galop la neige s…
Au nom du duc de Bellegarde. 1610. Enfin l’ire du ciel et sa fatale e… Dont j’avais repoussé tant d’injus… Ont détruit ma fortune, et, sans m…
Heureux qui, dans l’essor d’une ve… Soumet à ses pensers un langage do… Qui ne sent point sa voix expirer… Ni la lyre impuissante échapper à… Et cherchant cet accord, où l’âme…
Le fleuve qui, libre et tranquille… Traîne ses marnes et ses eaux Au milieu des pâles roseaux. Presse en ses bras une longue île, Qui semble un navire échoué
Sans crainte, mon Annette, ah ! r… En regardant ton fils que ta peine… Comment ne pas chérir sa vie Quand elle appartient à l’amour ? Du courage qu’il donne il est la r…
Souvent je m’élançais dans ces cha… Où l’homme croit trouver le réel q… Dans des songes heureux qui, par l… Brillent sur nos beaux jours, puis… J’avais édifié le monument fragile