Le poulet vient de courir dans la… À la recherche du vieux corbeau . Le furet est parti chasser le rat… Le rat gris des villes et des hôte… Charon .. c est le cheval camarg…
Bonjour .. c est un article sur l… Le tsar .. c est le vautour sur le… L européen ne peut pas anéantir le… C est l embrasement d un peuple ..… Le bleu du ciel et le jaune des pl…
Bonjour, Suzon, ma fleur des bois… Es-tu toujours la plus jolie ? Je reviens, tel que tu me vois, D’un grand voyage en Italie. Du paradis j’ai fait le tour ;
(Au sommet du Glenroe *). Ayant monté longtemps d’un pas lou… Les rampes, au sommet désiré du vo… Près du chemin gravi, bordé de fin… Oh ! qui n’aime à tomber d’un cœur…
À Alexandre Piédagnel. Le vent d’orage, allant où quelque… S’il rencontre un parterre, y voud… Autour du plus beau lis il s’enrou… Et gémit vainement sans pouvoir s’…
Le salon s’ouvre sur le parc Où les grands arbres, d’un vert so… Unissent leurs rameaux en arc Sur les gazons qu’ils baignent d’o… Si je me retourne soudain
Une vapeur mauve et légère Du ciel bruinait sur les monts Sa lueur caressait la terre Et la profondeur des vallons ; Sur la verte et rase prairie
Dieu est mort ! le ciel est vide..… Pleurez ! enfants, vous n’avez plu… Jean Paul . Quand le Seigneur, levant au ciel… Sous les arbres sacrés, comme font…
Quelle tranquille bienveillance Près de ces eaux remuées Où le soleil se balance En traversant la feuillée. Seul le rêve voit nos danses
Sonnet. C’est mon avis qu’en route on s’ex… Au vent, à la poussière, et qu’on… S’éveiller chiffonnée avec un mauv… Et qu’à la longue, en poste, un tê…
« Dans les Avents », comme l’on d… Chez mes pays qui sont rustiques Et qui patoisent un petit Entre autres usages antiques, « Dans les Avents les côs chanton…
Janvier .. une page s est tournée… Dans la vie du poète Alain . Et aujourd’hui .. on referme le c… Dans le salon .. ce matin .. Il s est fait enculé par son ami…
Ne rêves-tu jamais à ces heures d’… Qui précèdent l’hymen de deux jeun… Quand l’amour, de leur cœur, comme… Déborde en sentiments mystérieux e… Dis, n’est-ce rien pour toi qu’une…
A moi ma raison qui, ne coule pas… A quoi bon s’élever, tendre vers l… Le sport est un moyen, et non tout… Je le prends comme destin, comme l… Mourir sur un tapis, pas dans une…
Contrerime XXXI. Comme à ce roi laconien Près de sa dernière heure, D’une source à l’ombre, et qui ple… Fauste, il me souvient ;
Le poète Alain adore les hommes… Ceux, qui ont une belle pomme . J adore sucer la banane et le gla… J adore me faire pilonner par le d… Avaler le lait crémeux .
C est la belle vie d ailleurs ..… J adore les hommes .. les muscles… Deux mâles complètement nus . Vont se pénétrés sans retenues . Tu vois .. ils viennent d englout…
Eveillez-vous, échos de la patrie, Retentissez à nos joyeux refrains… Chants exhalés de notre âme attend… Envolez-vous jusqu’à des cieux ser… N’envions plus à quelque autre riv…
suite de Odes, par le Vampire Hybrizein où je vous explique comment l'améthyste autrefois brillante comme une étoile fut irrémédiablement tachée par le sang bleu d'un animal mythologiqu...
Le papillon, là-bas, au loin, brille d’un dernier rire parfumé. Ruissellement diamantin de souffle… Bal et épi solaire. L’or à grains se lève,
Autrefois Carpillon fretin Eut beau prêcher, il eut beau dire… On le mit dans la poêle à frire. Je fis voir que lâcher ce qu’on a… Sous espoir de grosse aventure,
N’entend-elle jamais une voix me d… Un conseil attendri rappeler son d… Une larme furtive, un feu sous cet… Un reproche d’en haut lui crier :… Moi, je n’y peux courir : sa clame…
Dieu, c’est la beauté, Dieu, beau… Dans le buisson de flamme à son pe… Aux lèvres de Moïse, aux lèvres d… Et ses discours profonds sont clai… Son livre est un chœur vaste où D…
Le réveil sonne, Je sors, Mais j’ai du mal à émerger... J’entends des oiseaux dehors, Je voudrais m’allonger...
L’infime infini de ton sourire, L’éternel battement d’ailes de tes… Sont autant de vestiges qui s’écho… Sur l’oreiller vide que tu as lais… Dans la chambre moite et blême.
Tu t’es approchée près de moi Et j’ai marché dans tes doux pas, M’entraînant vers ces lieues, là-b… Où je te dévoilais à toi, Une nouvelle sensation
Soutien précieux Mon passé me travaille, me suivant… Me narguant sans s’arrêter, et quo… Il trouble ma conscience et altère… Dès que je lève les yeux, il les c…
Il y plusieurs manières D’un message transmettre De donner des informations Et de se faire connaître Sans jamais faire un son
L’eau terne enserre les dragues Dans un bassin de mercure Où nage, sombre teinture, La fumée aux gestes vagues. Régulière, la fumée
Quand les malheureux ont l’été Et le soleil pour leur sourire, Il semble qu’un peu de gaité Vienne atténuer leur martyre. Mais l’hiver, quand il fait si fro…