(Vers pour mettre en bas du portra… Ce greffier doux et pacifique De ses enfants au sang critique N’eut point le talent redouté : Mais, fameux par sa probité,
Jéhova de la terre a consacré les… Elles sont de ses pas le divin mar… C’est là qu’environné de ses foudr… Il vole, il descend, il s’assied. Sina, l’Olympe même, en conserven…
Une niche Un nombre Une troupe d’hommes Tout le bout est là On n’avance plus
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
La guitare amoureuse et l’ardente… Pleurent de volupté, de langueur e… Sous l’arbre où le soleil dore l’h… Et devant le mur bas et chaud de l… Semblables à des fleurs qui trembl…
C est le texte du lundi . Les parents ne sont pas trop riche… Le père, c est le maçon du village… La mère est au foyer, pour s occup… Les parents feront le nécessaire…
Oh ! ne me conduis plus dans ces f… Où les rêves du cœur ne sauraient… Où de la vanité les brillantes ido… Obtiennent des succès qu’un jour d… Dis-moi, pourquoi veux-tu qua ce m…
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
Printemps, que me veux-tu ? pourqu… Ces fleurs dans tes cheveux et ces… Pourquoi dans les bosquets cette v… Et du soleil d’avril ces rayons ca… Printemps si beau, ta vue attriste…
Sur la rive du Nil un jour deux b… S’amusaient à faire sur l’onde, Avec des cailloux plats, ronds, lé… Les plus beaux ricochets du monde. Un crocodile affreux arrive entre…
À Mme N. Je voudrais, en groupant des souve… Imiter le concert de vos grâces my… J’y vois, par un soir d’or où vals… La libellule bleue effleurant les…
Sonnet. Calmes aux quais déserts s’endorme… Les besognes du jour rude sont ter… Et le bleu Crépuscule aux mains e… Éteint le fleuve ardent qui roulai…
Vainement tu lui fais affront, Votre brouille m’amuse, Car je reconnais sur ton front Le baiser de la Muse. Tout est fini, si tu le veux ;
Contrerime XLVII. Nous jetâmes l’ancre, Madame, Devant l’île Bourbon A l’heure où la nuit sent si bon Qu’elle vous troublait l’âme.
C’est en deuil surtout que je l’ai… Le noir sied à son front poli, Et par ce front le chagrin même Est embelli. Comme l’ombre le deuil m’attire,
Contrerime XXXI. Comme à ce roi laconien Près de sa dernière heure, D’une source à l’ombre, et qui ple… Fauste, il me souvient ;
Au coin du bois Quelqu’un se cache On pourrait approcher sans bruit Vers le vide ou vers l’ennemi En tombant la nuit s’est fendue
À M. Plasschaert. Qui, e… À l’auteur de La Feuille... en Eu… Auteur aimable autant qu’utile, Votre livre m’est parvenu ;
Quand ils vinrent louer deux chamb… Le portier, d’un coup d’œil plein… Comprit tout et conclut : – C’est… Le garçonnet, avec ses yeux intell… Était gai d’être en deuil, car sa…
Contrerime LI. On descendrait, si vous l’osiez, D’en haut de la terrasse, Jusques au seuil, où s’embarrasse Le pas dans les rosiers.
Vous qui craignez vent, pluie ou f… Restez coi, mes mignons ! Au lit ! au chaud ! vous, cœurs de… Fusil en main et rire aux lèvres, Nous, joyeux gars, marchons !
Filippa, Faïs, Esclarmonde, Les plus rares, que l’on put voir, Beautés du monde ; Mais toi si pâle encor d’avoir Couru la lune l’autre soir
L’Aigle donnait la chasse à maîtr… Qui droit à son terrier s’enfuyait… Le trou de l’Escarbot se rencontr… Je laisse à penser si ce gîte Etait sûr ; mais ou mieux ? Jean…
Ta pâle chevelure ondoie Parmi les parfums de ta peau Comme folâtre un blanc drapeau Dont la soie au soleil blondoie. Las de battre dans les sanglots
(Pour M.L.C.D.C. en captivité.) À Iris. Vous demandez, Iris, ce que je fa… Je pense à vous, je m’épuise en so… Etre privé de les dire moi-même,
Deux démons à leur gré partagent n… Et de son patrimoine ont chassé la… Je ne vois point de cœur qui ne le… Si vous me demandez leur état et l… J’appelle l’un, Amour ; et l’autr…
Il est un arbre au cimetière Poussant en pleine liberté, Non planté par un deuil dicté, - Qui flotte au long d’une humble pi… Sur cet arbre, été comme hiver,
Le ciel suave était jonché de pâle… Tes yeux tendres au fond de ton la… Rêvaient : tu flottais toute aux p… Et ton coeur, qu’inclinaient d’ine… Le ciel suave était jonché de pâle…
Sonnet. Je sais faire des vers perpétuels.… Sont ravis à ma voix qui dit la vé… La suprême raison dont j’ai, fier,… Ne se payerait pas avec toutes les…
Viens. Sur tes cheveux noirs jett… Avant l’heure du bruit, l’heure où… Allons voir le matin se lever sur… Et cueillir par les prés les fleur… Sur les bords de la source aux moi…