#ÉcrivainsFrançais
Il sait à peine d’où tu viens Malgré la ride qui te marque Malgré ces traces sur tes joues Et les mouvements de tes mains Il ne veut pas que tu t’en ailles
Les voix qui s’élevaient tremblent… Tout est calme dans la clairière On pourrait voir passer ceux qui s… Sur cette route sans ornières D’où vient celui que l’on ne conna…
Le clou est là Retient la pente Le lambeau clair au vent soulevé c… et celui qui comprend Tout le chemin est nu les pavés le…
En face du mur sur la glace le pér… Dans les parures du papier aux vit… L’air est gai l’air est frais Le ciel est plus bas et plus sombr… On compte d’ici là le temps qu’il…
Un cortège de gens plus ou moins h… On passe entre les arbres qui s’in… Dans le silence digne, si quelqu’u… On passe devant la maison d’un poè… Bientôt, c’est un boulevard bordé…
La seule clef du ciel entre ces ro… C’est l’aigle Quand la lame de fer coupe la vagu… Ma main écrit ton nom sur la glace… Un navire indécis navigue vers mes…
Que de libres ! Un temple dont les murs épais étaient bâtis en livres. Et là dedans, où j’étais entré on ne saura comment, je ne sais par où, j’étouffais ; les plafonds étaient gris de ...
S’il se soulève quand je passerai près de lui ; s’il pleure quand viendra la nuit, s’il ne crie pas ? J’aurai cru le voir et ce sera fini. Plusieurs heures de chemin dans un sentier où ...
Le point de l’appareil montre le r… Le regard Le hasard des mots venant au bout… Le retard du lever de la toile Sous les lampes vides et presques…
Assis sur l’horizon Les autres vont chanter Et nous nous avons regardé La voiture en passant souleva la p… Et tout ce qui traînait retomba pa…
Entre le dos du livre et les feuil… S’ouvre l’antre limpide Où bouillonne l’écume Quand les rochers serrent les dent… Sur la langue de sable
Nous sommes deux Sur la même ligne où tout se suit Dans les méandres de la nuit Une parole est au milieu Deux bouches qui ne se voient pas
Je vois enfin le jour à travers le… Les persiennes de la maison se sou… Et battent Mais le jour où je devais le renco… N’est pas encore venu
Enfin me voilà debout Je suis passé par là Quelqu’un passe aussi par là maint… Comme moi Sans savoir où il va
Tout est calme Pendant l’hiver Au soir quand la lampe s’allume A travers la fenêtre où on la voit… Sur le tapis des mains qui dansent