"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Moi qui ne suis qu’un brin d’hysop… Du Seigneur tout-puissant qui m’o… Je puis, si mon dessein est pur de… Purifier autrui passant sur mon ch… Je puis, si ma prière est de celle…
Comme la voix d’un mort qui chante… Du fond de sa fosse, Maîtresse, entends monter vers ton… Ma voix aigre et fausse. Ouvre ton âme et ton oreille au so…
Non. Il fut gallican, ce siècle,… C’est vers le Moyen Age énorme et… Qu’il faudrait que mon coeur en pa… Loin de nos jours d’esprit charnel… Roi politicien, moine, artisan, ch…
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Ma douce main de maîtresse et d’am… Passe et rit sur ta chère chair en… Rit et jouit de ton jouissement. Pour la servir tu sais bien qu’ell… Et ton beau corps faut que je le d…
Donne ta main, retiens ton souffle… Sous cet arbre géant où vient mour… En soupirs inégaux sous la ramure… Que caresse le clair de lune blême… Immobiles, baissons nos yeux vers…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand coeur et la gl… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…
Va ton chemin sans plus t’inquiéte… La route est droite et tu n’as qu’… Portant d’ailleurs le seul trésor… Et l’arme unique au cas d’une bata… La pauvreté d’esprit et Dieu pour…
Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillas… Place, bouffons vieillis, au parfa… Place ! très grave, très discret e… Voici venir le maître à tous, le c… Plus souple qu’Arlequin et plus b…
Parisien, mon frère à jamais étonn… Montons sur la colline où le solei… Si glorieux qu’il fait comprendre… Sous cette perspective inconnue au… D’arbres au vent et de poussière d…
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
Le Point-du-Jour avec Paris au l… Des chants, des tirs, les femmes q… La Seine claire et la foule qui f… Sur ce poème un vague essai de cha… On danse aussi, car tout est dans…
Le bruit des cabarets, la fange du… Les platanes déchus s’effeuillant… L’omnibus, ouragan de ferraille et… Qui grince, mal assis entre ses qu… Et roule ses yeux verts et rouges…
Là ! Je me tue à vos genoux ! Car ma détresse est infinie, Et la tigresse épouvantable d’Hyr… Est une agnelle au prix de vous. Oui, céans, cruelle Clymène,
(En lui envoyant « Sagesse ») Nul parmi vos flatteurs d’aujourd’… Mieux que moi la fierté d’admirer… Votre nom m’enivrait comme un nom… Votre œuvre, je l’aimais d’un amou…