#ÉcrivainsFrançais
Sur un trône de paille un cheval couronné un âne le fait rire vêtu comme un jockey Devinettes aimables
La vie de Loris tient encore le b… En équilibre libre et sans cesse m… L’humour appartient à tout le mond… Celui de Loris n’appartient qu’à…
Pour rien, comme vous y allez, elles seront payées. Mais il est encore d’autres fabriques, d’autres ateliers, où le cœur est à l’ouvrage puisque le corps n’est pas à la chaîne. Mourlot ...
A New York ou ailleurs, assis dans son fauteuil de gloire, Lindbergh, l’aviateur, peut voir—comme si c’était lui—l’acteur qui joue le rôle qu’il a lui-même joué dans l’histoire. Au ciné...
Dans ma maison vous viendrez D’ailleurs ce n’est pas ma maison Je ne sais pas à qui elle est Je suis entré comme ça un jour Il n’y avait personne
Il était comme moi– comme moi j’étais à cette époque : un homme de la nuit, c’est-à-dire qu’on restait des nuits entières à Dôme, et il était comme aujourd’hui, parce que, au fond, qu’e...
Dans la demeure de la liberté tout… Soudain, de la bouche d’un témoin,… Dans la demeure de la fiancée, c’e… Vide est la corbeille, fermées les… Il n’y a pas de présent, le temps…
Quand l’homme, en fin de querelle, a égrené tout son chapelet d’injures, il hausse les épaules pousse un grand soupir et dit : « Figure ! » Un autre jour, racontant ce qui s’est passé l...
Couleur du temps, c’est la couleur de cet album et si l’oiseau bleu n’apparaît pas flgurativement, il est là tout de même, Peter Cornélius a su le voir et nous le montre ingénument. Par...
Oh vous qui connaissez l’Angleter… vous n’avez pas connu Cosy Corner Cosy
Ceux qui plantent en rêve des tessons de bouteille sur la grande muraille de Ceux qui mettent un loup sur leur visage quand ils mangent du mouton Ceux qui volent des œufs et qui n’osent...
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
Le porte-monnaie : Je suis d’une incontestable utilit… D’accord mais tout de même il faut… Que si je n’existais pas il faudra… Moi je me passe de commentaires
Dieu et c’est en pure perte que ses émissaires, ses commissaires, ses prêtres, ses directeurs de conscience, ses ingénieurs des âmes, ses maîtres à penser se sont évertués à me sauver. ...
Un chien fou dans les couloirs d’u… Un arbre ou une pendule un oiseau… Ton visage d’enfant comme une crèm… Ton sourire comme une roue dentée s’est mis à…