Poèmes divers
#ÉcrivainsFrançais
À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,
Une femme est l’amour, la gloire e… Aux enfants qu’elle guide, à l’hom… Elle élève le cœur et calme la sou… Comme un esprit des cieux sur la t… Courbé par le travail ou par la de…
Au sein des vastes mers, un aride… Contre qui vient mugir la colère d… Se hérisse de rocs, effroi des mat… Du Corse belliqueux c’est le rédu… Là naguère le Sort, allumant un f…
À cette côte anglaise J’ai donc fait mes adieux, Et sa blanche falaise S’efface au bord des cieux ! Que la mer me sourie !
Dans Sainte-Pélagie, Sous ce règne élargie, Où, rêveur et pensif, Je vis captif, Pas une herbe ne pousse
Où sont nos amoureuses ? Elles sont au tombeau. Elles sont plus heureuses, Dans un séjour plus beau ! Elles sont près des anges,
Le dieu Kneph en tremblant ébranl… Isis, la mère, alors se leva sur s… Fit un geste de haine à son époux… Et l’ardeur d’autrefois brilla dan… « Le voyez-vous, dit-elle, il meur…
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Ici l’on passe Des jours enchantés ! L’ennui s’efface Aux coeurs attristés Comme la trace
Le Temps ne surprend pas le sage, Mais du Temps le sage se rit, Car lui seul en connaît l’usage : Des plaisirs que Dieu nous offrit Il sait embellir l’existence,
Voici trois ans qu’est morte ma gr… La bonne femme,—et, quand on l’ent… Parents, amis, tout le monde pleur… D’une douleur bien vraie et bien a… Moi seul j’errais dans la maison,…
Quand le Soleil du soir parcourt… Et jette l’incendie aux vitres du… Je suis la Grande Allée et ses de… Tout plongé dans mes rêveries ! Et de là, mes amis, c’est un coup…
Petit piqueton de Mareuil, Plus clairet qu’un vin d’Argenteu… Que ta saveur est souveraine ! Les Romains ne t’ont pas compris Lorsqu’habitant l’ancien Paris
Je suis le ténébreux,—le veuf,—l’i… Le prince d’Aquitaine à la tour a… Ma seule étoile est morte,—et mon… Porte le Soleil noir de la Mélanc… Dans la nuit du tombeau, toi qui m…
Arrête, esprit sublime ! arrête ! Du sort crains de braver les lois… Dieu qui commande à la tempête L’agite sur le front des rois ; Son bras pourra réduire en poudre