#LesFleursDuMal #ÉcrivainsFrançais
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
II est de forts parfums pour qui… Est poreuse. On dirait qu’ils pén… En ouvrant un coffret venu de l’O… Dont la serrure grince et rechigne… Ou dans une maison déserte quelque…
Tu n’es certes pas, ma très-chère, Ce que Veuillot nomme un tendron. Le jeu, l’amour, la bonne chère, Bouillonnent en toi, vieux chaudro… Tu n’es plus fraîche, ma très-chèr…
Viens-tu du ciel profond ou sors-t… O Beauté ? ton regard, infernal e… Verse confusément le bienfait et l… Et l’on peut pour cela te comparer… Tu contiens dans ton oeil le couch…
Bientôt nous plongerons dans les f… Adieu, vive clarté de nos étés tro… J’entends déjà tomber avec des cho… Le bois retentissant sur le pavé d… Tout l’hiver va rentrer dans mon ê…
Vous qui raffolez des squelettes Et des emblèmes détestés, Pour épicer les voluptés, (Fût-ce de simples omelettes !) Vieux Pharaon, ô Monselet !
« D’où vous vient, disiez-vous, ce… Montant comme la mer sur le roc no… —Quand notre coeur a fait une fois… Vivre est un mal. C’est un secret… Une douleur très simple et non mys…
Ta tête, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage ; Le rire joue en ton visage Comme un vent frais dans un ciel c… Le passant chagrin que tu frôles
Le soleil s’est couvert d’un crêpe… Ô Lune de ma vie ! emmitoufle-toi… Dors ou fume à ton gré ; sois muet… Et plonge tout entière au gouffre… Je t’aime ainsi ! Pourtant, si tu…
Viens, mon beau chat, sur mon coeu… Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes bea… Mêlés de métal et d’agate. Lorsque mes doigts caressent à loi…
Amina bondit,—fuit,—puis voltige e… Le Welche dit : « Tout ça, pour m… Je ne connais, en fait de nymphes… Que celle de Montagne-aux-Herbes-… Du bout de son pied fin et de son…
Quand, les deux yeux fermés, en un… Je respire l’odeur de ton sein cha… Je vois se dérouler des rivages he… Qu’éblouissent les feux d’un solei… Une île paresseuse où la nature do…
Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poète chétif,
Rubens, fleuve d’oubli, jardin de… Oreiller de chair fraîche où l’on… Mais où la vie afflue et s’agite s… Comme l’air dans le ciel et la mer… Léonard de Vinci, miroir profond…
Novis te cantabo chordis, O novelletum quod ludis In solitudine cordis. Esto sertis implicata, Ô femina delicata