#LesFleursDuMal #ÉcrivainsFrançais
Je suis comme le roi d’un pays plu… Riche, mais impuissant, jeune et p… Qui, de ses précepteurs méprisant… S’ennuie avec ses chiens comme ave… Rien ne peut l’égayer, ni gibier,…
Nous aurons des lits pleins d’odeu… Des divans profonds comme des tomb… Et d’étranges fleurs sur des étagè… Ecloses pour nous sous des cieux p… Usant à l’envi leurs chaleurs dern…
Pour soulever un poids si lourd, Sisyphe, il faudrait ton courage ! Bien qu’on ait du coeur à l’ouvrag… L’Art est long et le Temps est co… Loin des sépultures célèbres,
Une fois, une seule, aimable et do… À mon bras votre bras poli S’appuya (sur le fond ténébreux de… Ce souvenir n’est point pâli); II était tard ; ainsi qu’une méda…
Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poète chétif,
Bizarre déité, brune comme les nui… Au parfum mélangé de musc et de ha… Oeuvre de quelque obi, le Faust d… Sorcière au flanc d’ébène, enfant… Je préfère au constance, à l’opium…
Tes pieds sont aussi fins que tes… Est large à faire envie à la plus… À l’artiste pensif ton corps est d… Tes grands yeux de velours sont pl… Aux pays chauds et bleus où ton D…
Quand, les deux yeux fermés, en un… Je respire l’odeur de ton sein cha… Je vois se dérouler des rivages he… Qu’éblouissent les feux d’un solei… Une île paresseuse où la nature do…
Les cloîtres anciens sur leurs gra… Etalaient en tableaux la sainte V… Dont l’effet réchauffant les pieus… Tempérait la froideur de leur aust… En ces temps où du Christ floriss…
Le regard singulier d’une femme ga… Qui se glisse vers nous comme le r… Que la lune onduleuse envoie au la… Quand elle y veut baigner sa beaut… Le dernier sac d’écus dans les doi…
Deux guerriers ont couru l’un sur… Ont éclaboussé l’air de lueurs et… Ces jeux, ces cliquetis du fer son… D’une jeunesse en proie à l’amour… Les glaives sont brisés ! comme no…
Pour l’enfant, amoureux de cartes… L’univers est égal à son vaste app… Ah ! que le monde est grand à la c… Aux yeux du souvenir que le monde… Un matin nous partons, le cerveau…
Fière, autant qu’un vivant, de sa… Avec son gros bouquet, son mouchoi… Elle a la nonchalance et la désinv… D’une coquette maigre aux airs ext… Vit-on jamais au bal une taille pl…
Lecteur paisible et bucolique, Sobre et naïf homme de bien, Jette ce livre saturnien, Orgiaque et mélancolique. Si tu n’as fait ta rhétorique
Novis te cantabo chordis, O novelletum quod ludis In solitudine cordis. Esto sertis implicata, Ô femina delicata